Cannabis : Maxim Martin et sa fille favoriseront le dialogue parents-ados
Même si sa consommation demeure interdite au Québec chez les moins de 21 ans, le cannabis a fait l’objet d’une certaine banalisation depuis sa légalisation en octobre 2018.
Le 7 février 2021 — Modifié à 17 h 24 min le 5 février 2021
DRUMMOND. La MRC de Drummond lance une vaste campagne de sensibilisation portant sur le cannabis. Réalisée en partenariat avec l’organisme Action toxicomanie, elle pourra compter sur la visibilité de Maxim Martin et sa fille Livia.
Baptisée «C’est légal d’en parler», la campagne vise à favoriser le dialogue parents-ados et à fournir de l’information et des outils de référence sur le sujet.
Même si sa consommation demeure interdite au Québec chez les moins de 21 ans, le cannabis a fait l’objet d’une certaine banalisation depuis sa légalisation en octobre 2018. Dans ce contexte, l’encouragement à ouvrir des canaux de communication sur la question et l’importance de rappeler aux jeunes les risques associés à cette substance ont motivé la MRC et Action toxicomanie à mettre de l’avant une telle initiative de sensibilisation.
Très visible sur les réseaux sociaux, cette campagne sera déployée jusqu’au printemps prochain. Elle pourra compter sur deux ambassadeurs bien connus, Maxim Martin et sa fille Livia, et s’articulera principalement autour de capsules vidéo et de publications sur Facebook et Instagram. Par son allure colorée et «vintage», elle sera facilement reconnaissable, au même titre que l’humour complice dans les échanges entre Maxim et Livia.
Lui-même ex-toxicomane, Maxim Martin est bien placé pour parler de consommation. Le ton que la MRC souhaitait donner à la campagne l’a immédiatement séduit.
«Impossible d’être parfait en tant que parent, mais la chose dont je suis le plus fier, c’est la façon qu’on a, Livia et moi, de tout se raconter… même un peu trop par moments! [rires] J’aime comment on le fait ouvertement et sans jugement et j’espère que la campagne en incitera plusieurs à adopter la même approche», mentionne-t-il.
Pour sa part, Livia comprend la réticence que peuvent avoir certains jeunes. «On a parfois tendance à penser que de se tourner vers nos parents n’est pas une bonne solution, tout simplement parce qu’on craint leur réaction. C’est vrai que ça peut être stressant de leur parler de ce sujet-là ou de partager nos expériences avec eux, mais, au fond, nos parents veulent notre bien-être et notre sécurité. Se parler et se faire confiance, ça peut faire toute la différence», exprime-t-elle.
Le lancement de la campagne est accompagné de la mise en ligne d’une page Facebook (facebook.com/cestlegaldenparler) et d’une page Web (cestlegaldenparler.com) https://cestlegaldenparler.com/ qui donnent accès aux capsules vidéo tournées par Maxim et Livia ainsi qu’à de nombreuses publications permettant aux parents comme aux ados d’être mieux informés sur différents enjeux liés au cannabis et même de déboulonner certains mythes. Un bottin des ressources disponibles est aussi en ligne pour obtenir de l’aide et des conseils en cas de besoin.
Des affiches à l’image de la campagne seront par ailleurs présentes dans les établissements scolaires de la MRC de Drummond fréquentés par les ados et un message des deux ambassadeurs pourra être entendu sur Spotify.
Cette campagne, dont le contenu a été développé avec la collaboration de l’agence Signé François Roy, a bénéficié du soutien financier du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation. (LT)
La criminalisation des 21 ans pire que les méfaits du cannabis !
« le cannabis a fait l’objet d’une certaine banalisation depuis sa légalisation en octobre 2018. »
Clowns ou Pantins ?
Pas fort criminaliser des adultes légaux de 18 ans et les laisser aux mains et produits du marché illicite !
Ainsi, des jeunes âgés de 18 à 21 ans s’approvisionnent auprès de revendeurs et consomment des produits contaminés et non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance.
Le but étant de protéger leur santé physique et mentale d'affirmer la CAQ et les Associations de médecins, psychiatres, pédiatres, forces policières ?
Banaliser une herbe sans dose ni surdose mortelle Vs des drogues dures mortelles léthales banalisées à morts ?
La banalisation c'est 82% des Québécois de 12 ans et plus qui consomment et abusent, même devant de jeunes enfants, de l'alcool publicisé par la SAQ et Éduc'alcool, drogue dure #2 pour la dangerosité (#1 pour le nombre de drogués), juste derrière l'héroïne #1 et l'acceptation culturelle des morts et maladies évitables.
Que va faire un bon père de famille avec son adulte de 18 ans criminalisé au Québec pour le cannabis légal ?
Livrer son adulte légal de 18 ans aux organisations criminelles ou le dénoncer à la police ? Big Brother 1984.
Le limiter aux drogues dures légales qui rendent accro, malade et tue chaque jours ?
Pour le cannabis sans dose ni surdose mortelle non récréatif efficace non remboursé les alternatives sont les médicaments de pharmaceutiques prescrits à pochetée et répétition, dangereux pour la santé physique, mentale à dose et surdose mortelle remboursés même si inefficaces reconnus comme des fléaux mondiaux ?
Ne pas respecter cette loi injuste sans aucune preuve scientifique ni étude sur des humains
qui ne tiens que sur une promesse électoraliste ségrégationniste ?
Parent qui a pu consommer légalement du cannabis légal de la SQDC
avec son adulte légal de 18 ans pendant 2 mois.
Combien de morts pour le cannabis seul en plus de 1 000 ans d'usage ?
Ce qui est banalisé protégé et causent des milliers de morts évitables acceptables ce sont l'alcool et le tabac !
Pour le tabac ce sont 13 000 morts annuelles évitables acceptables depuis des années.
26 000 morts évitables acceptables par la CAQ, les médecins et la Santé publique
depuis son élection et la criminalisation des adultes pour le cannabis sans dose mortelle.
La CAQ pour protéger la santé physique et mentale des adultes légaux de 18 ans en a fait des criminels.
Selon les experts de la CAQ et les médecins, psychiatres et forces de l'ordre pour qui criminaliser est la solution !
Pour des personnes vulnérables devenus dépendantes qui ont besoin d'une aide immédiate et gratuite !
Est-ce que que la criminalisation des personnes devenus accro qui consomment illicitement les produits de pharmaceutiques dangereux pour la santé physique et mentale à dose et surdose mortelle qui rendent accro a mis fin à leurs problèmes ou aux surdoses mortelles ?
Moi comme la majorité des Québécois c'est dans des hôpitaux que j'ai été en contact avec la morphine avec l'appareil d'auto injection, le fentanyl et le valium.
Plusieurs sont devenus accro à ces produits de pharmaceutiques prescrits à pocheté et répétition par 80% des médecins et psychiatres qui ont la phobie ciblée du cannabis sans dose mortelle.
Obligeant les adultes légaux criminalisés stupidement à se tourner vers les organisations criminelles et leurs produits de pharmaceutiques. Et/ou les produits mortels légaux scientifiquement reconnus comme rendant accro, malade et tuent chaque jour.
Produits mortels légaux dont les consommateurs de 18 ans ont droit
à l'achat, la possession, la consommation, la production personnelle, le partage, don de leur production.
Pour le cannabis seul légal avec ZÉRO mort directe et aucune dose mortelle en plus de 1 000 ans d'usage.
Sevrage en 7 jours pour cannabis seul, pas besoin de médocs dangereux car le CBD peut aider!
La peur à fait faire des affaires qui n’ont pas de crisse de bon sens ! Horacio Arruda.
Je ne suis pas animé par un esprit de vengeance mais de justice égale pour tous ! Zappiste
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