Les magasins de cannabis devraient-ils cacher les vitrines des magasins de cannabis ? Le régulateur envisage de modifier les règles

les fenêtres opaques rendent les choses dangereuses pour les employés ! - Les membres de l'industrie

Toronto
Les magasins de cannabis devraient-ils cacher les vitrines des magasins de cannabis ? Le régulateur envisage de modifier les règles
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Les membres de l'industrie disent que les fenêtres opaques rendent les choses dangereuses pour les employés
Nouvelles de Radio-Canada · Publié : 26 juin 2023 16 h 46 HAE | Dernière mise à jour : il y a 6 heures

Une femme se tient devant une fenêtre en verre bloquée par du vinyle.
Elisa Keay, de K's Pot Shop sur Queen Street East à Toronto, affirme que le règlement entraîne des conséquences pour le magasin. (Lorenda Reddekopp/CBC)

La Commission des alcools et des jeux de l'Ontario envisage de modifier les règlements qui obligent les magasins de cannabis à s'assurer que le pot ne peut pas être vu de l'extérieur de leur magasin – et les propriétaires de magasins disent qu'il est grand temps que les règles changent.

Les restrictions limitant la visibilité du cannabis depuis l'extérieur des magasins visent à garantir que les mineurs ne soient pas attirés par l'herbe ou les accessoires de pot. La restriction a conduit de nombreux détaillants à installer des fenêtres dépolies ou un mur intérieur qui bloque la vue des passants à l'extérieur du magasin.

Elisa Keay, de K's Pot Shop sur Queen Street East à Toronto, affirme que le règlement entraîne des conséquences pour le magasin.

"Votre magasin est complètement coupé du reste du monde", a-t-elle déclaré. "Nous aimerions être plus qu'un simple panneau opaque dans la rue."

L'organisme provincial qui supervise l'octroi de licences aux magasins de cannabis dit qu'il recueille des commentaires sur la visibilité du cannabis pour répondre aux préoccupations en matière de sécurité. Il recueillera des commentaires jusqu'au 11 juillet et informera les magasins à une date ultérieure s'il décide d'apporter des modifications à la réglementation, selon un courriel envoyé à CBC Toronto.

Le régulateur du cannabis de l'Alberta autorise les magasins de poterie à retirer les couvre-fenêtres
Omar Khan, directeur des communications et des affaires publiques chez High Tide Inc., une société nationale de cannabis, dit qu'il n'y a pas grand-chose à voir pour les enfants en ce qui concerne la présentation des produits.

"Ces produits à base de cannabis sont de toute façon tous dans des emballages neutres, donc la seule chose que les enfants verraient serait littéralement … des enveloppes en plastique indescriptibles", a-t-il déclaré.

Quatre exemples d'emballages de cannabis légaux pour le Canada, tous avec une étiquette d'avertissement jaune en bas.
Omar Khan dit que l'emballage du cannabis n'est pas descriptif. (Radio-Canada)
Khan dit que son entreprise fait du lobbying sur cette question depuis un certain temps. En Ontario, High Tide est actuellement un client de Rubicon Strategy, selon le registre des lobbyistes de la province.

Problèmes de sécurité pour les employés du magasin
Keay dit qu'être "fermé" par les fenêtres givrées rend difficile pour les magasins de cannabis de se sentir comme faisant partie du paysage de rue dans lequel ils sont inclus.

Cela pose également des problèmes de sécurité pour ceux qui se trouvent derrière les comptoirs, ce qui a conduit d'autres provinces à reconsidérer la réglementation. Une augmentation importante des vols a incité l'organisme de réglementation du cannabis de l'Alberta à autoriser les magasins à retirer les couvre-fenêtres l'été dernier.

Dans une lettre envoyée aux détaillants en août 2022, la Commission des jeux, des alcools et du cannabis de l'Alberta (AGLC) a déclaré qu'il y avait eu recours à la violence et aux armes dans certains des vols et que l'AGLC était préoccupée par la sécurité du personnel, des clients et des policiers qui ont répondu. .

Khan dit que les fenêtres givrées font des magasins de cannabis des cibles de choix.

Un homme avec des lunettes dans son bureau à domicile.
Omar Khan dit qu'il n'y a pas grand-chose à voir pour les enfants en ce qui concerne la présentation des produits. (Zoom/CTF)
"Si vous êtes un criminel cherchant à gagner rapidement de l'argent ou à voler du cannabis, quel meilleur environnement choisir qu'un environnement où personne ne peut voir ce que vous faites de l'extérieur."

Il dit que les employés des magasins High Tide ont été ligotés et agressés physiquement lors de vols.

"Ces changements proposés créeront un environnement beaucoup plus sûr dans ces magasins", a-t-il déclaré.

Avec des fichiers de Lorenda Reddekopp et de La Presse canadienne

Commentaires

Des onces à moins de $100 Taxes Incluses

Les vendeurs d'alcools mortels cancérigènes n'ont pas à cacher leurs vitrines même si visible par des enfants !

Rappelons que les enfants et les "adolescents" ont le droit d'accompagner leurs parents dans une SAQ
et dans une épicerie qui vend mais n'a pas à cacher l'alcool à étiquettes attirantes !

Le OCS offre un accès sécuritaire et responsable au cannabis récréatif pour les adultes de "19 ans et plus".

Ontario qui a choisi la légalisation Harmonisation canadienne prouvé efficace, depuis 2018,
pour "leurs adultes légaux de 19 ans et plus" qui ont le droit de choisir, prendre des risques.

Ce qui est refusé dans la république de la dick-tature du Québec parce que selon les Caq
"Anti Justice Égale Pour Tout Le peuple Du Québec"
et les associations de médecins/psychiatres achetables dépendant$, du Québec,
les jeunes de moins de 21 ans du Québec ne sont pas assez intelligents, responsables
pour avoir le droit de choisir, prendre des risques. Pour le cannabis bénin non mortel seulement !

Alors que les enfants* de 6-12 ans et moins du Québec
dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans
ont le droit de consommer de l'alcool un fléau mondial, un dépresseur psychotrope
mortel, cancérigène, responsable de viols, violences envers soi et les autres, nombreuses hospitalisations, etc.
Assez intelligents à 12 ans pour avoir le droit de posséder un permis de chasse et une arme.

Le cannabis Big Pleasures emballé avec soin "au Québec" pourrait s'appeler le P'tit Ontario.
Comme le fromage le P'tit Québec dont seul son nom est québécois qui est fabriqué en Ontario.

Le fromage P'tit Québec n'a de québécois que le nom.

Malgré son nom, le fromage P'tit Québec n'a pas grand-chose de québécois. Ce produit a été créé en 1960 par la multinationale américaine de la bouffe Philip Morris — oui, celle qui faisait aussi des cigarettes — qui, à l'époque, avait décidé de mettre sur le marché des cheddars industriels à saveur régionale, pour des raisons de pur marketing. Où ce fromage est-il fabriqué? Le Devoir a posé la question à la compagnie Kraft ces dernières semaines. La réponse se fait toujours attendre. Ce silence laisse toutefois présager que le fromage «bien de chez nous», comme le croient plusieurs consommateurs, pourrait provenir d'une usine de l'empire Kraft en Ontario ou aux États-Unis. Amusant.

OCS :

Onces à moins de $100 Taxes Incluses

FLEURS
Big Pleasures 99,96 $ / 28g
THC: 27.00 - 35.00% de THC
270.00 - 350.00 mg/g
Emballés avec soin au Québec.

Le seul producteur à affirmer avoir du cannabis à teneur de jusqu'à 35 % de THC.

CBD: 0.00 - 1.00%
0.00 - 10.00 mg/g
Taxes Incluses

À propos de ce produit
Avec des cultivars en rotation, chaque lot de Big Pleasures est l’occasion d’explorer de nouveaux cultivars, arômes et saveurs emballés avec soin au Québec.

HASCHICH
THC: 40.00 - 48.00%
400.00 - 480.00 mg/g

HASCHICH ET KIEF
RÉSINE
ROSIN
SHATTER
CIRE
FLEUR INFUSÉS

VAPE
THC: 85.00 - 91.00%
850.00 - 910.00 mg/g

CONFISERIES

https://ocs.ca/blogs/choisir-des-produits-de-cannabis/en-ligne-maintenan...
Tout sur les extraits

Parlons extraits
Aussi connus sous le nom de concentrés, les extraits sont fabriqués en transformant la fleur de cannabis en un solide ou un liquide concentré qui est inhalé ou ingéré. Le fait qu’ils soient si pleins de cannabinoïdes et de terpènes – certains extraits contiennent jusqu’à 90 % de THC est précisément la raison pour laquelle vous voudrez digérer quelques détails avant de consommer des extraits.

À propos
La Société ontarienne du cannabis (ou OCS) est un organisme d’État appartenant exclusivement à la province de l’Ontario et qui relève du ministère des Finances.

Le OCS offre un accès sécuritaire et responsable au cannabis récréatif pour les adultes de 19 ans et plus. Nous sommes un détaillant en ligne et le seul grossiste de cannabis récréatif légal en Ontario.

Nous veillons à ce que nos clients n’obtiennent que des produits de cannabis légalisés et bien étiquetés, en travaillant en collaboration avec un groupe diversifié de producteurs autorisés reconnus par Santé Canada. Notre magasin en ligne priorise l’éducation de sa clientèle et propose aux consommateurs – nouveaux ou initiés – de nombreuses ressources pour se renseigner sur le cannabis et son utilisation responsable.

Le personnel de notre centre de service à la clientèle est composé de spécialistes compétents et dévoués, qui fournissent aux clients l’information dont ils ont besoin pour faire les bons choix. La responsabilité sociale est un enjeu que nous prenons à cœur, et nous nous engageons à ce que chaque achat soit fait de manière responsable.

*Initier en famille pour protéger des dérives liées à l’alcool ?

https://www.france-assos-sante.org/2022/12/22/initier-les-plus-jeunes-a-...

Initier en famille pour protéger des dérives liées à l’alcool ?

C'est ce qu'Éduc'alcool qui fait la promotion et des recommandations dangereuses affirme,
qui reçoit des millions annuellement de la SAQ, Société d'Alcoolisation des Québécois de 12 ans et plus,
qui cause plus de méfaits sur la santé physique, mentale, économique, que ses revenus ! Zappiste

En toute bonne foi, rapporte Valérie Lemaire, de nombreux parents pensent qu’une initiation raisonnable en famille, peut-être basée sur le goût, la qualité des boissons alcoolisées, préservera leurs enfants d’une tentation d’alcoolisations excessives avec des produits de mauvaise qualité, avec des jeunes de leur âge.

Non seulement aucune étude ne prouve que cela fonctionne, mais celle réalisée en 2018 et intitulée « Consommation précoce d’alcool avec la permission des parents : caractéristiques psychosociales et consommation d’alcool à la fin de l’adolescence », montre l’inverse.

Il s’agissait de suivre 765 familles américaines avec des enfants de moins de 13 ans, réparties en deux groupes : dans l’une, les enfants pouvaient goûter un peu d’alcool en famille. Dans l’autre, c’était interdit.

Le suivi a révélé que les enfants du premier groupe ont eu une consommation d’alcool plus fréquente et importante à l’adolescence que les enfants du second groupe.

Le fait est que même si l’on pense bien faire en initiant ses enfants à l’alcool à la maison, on fait plutôt entrer le loup dans la bergerie, on banalise, voire on sacralise l’alcool, alors que l’objectif est plutôt de le débanaliser.

Les dangers d’une alcoolisation précoce

Les dangers de boire de l’alcool chez les jeunes sont avérés et immédiats notamment sur le développement de leur cerveau.

Valérie Lemaire précise que le parent qui fait boire un fond de coupe de champagne à son enfant risque d’altérer son cerveau et que cela peut engendrer des troubles cognitifs ou des troubles de l’apprentissage et bien évidemment avoir des incidences, notamment sur la scolarité des jeunes.

(Troubles cognitifs, d'apprentissage et incidence sur la scolarité acceptables pour l'alcool
mais innacceptables et utilisés pour continuer la prohibition criminalisation du cannabis bénin ? Zappiste)

Notons au passage que le développement du cerveau n’est réellement achevé qu’à l’âge de 25 ans, et que s’il est utopique d’imaginer que tous les jeunes éviteront l’alcool jusqu’à cet âge, il n’est pas superflu de leur expliquer qu’une trop grande consommation, même dès 18 ans, âge où ils deviennent officiellement responsables pour eux-mêmes, peut encore nuire au développement cérébral.

L’autre principal danger est l’augmentation du risque d’alcoolodépendance chez les jeunes qui expérimentent l’alcool précocement.

Comme nous l’avons vu avec l’étude ci-dessus, plus un enfant boit tôt, et plus il a de risques de consommer plus fréquemment et en plus grande quantité de l’alcool durant l’adolescence.

Or, de son côté, l’Inserm rapporte que des études montrent que la pratique largement répandue du « binge drinking », qui consiste à boire au moins 6 à 7 verres d’alcool en moins de deux heures pour atteindre un état d’ivresse le plus rapidement possible, chez les jeunes entre 18 et 25 ans, augmente significativement le risque d’alcoolodépendance.

Parler d’alcool en famille oui, mais ne pas en proposer…

Bien sûr, l’exemplarité est intéressante quand on veut éviter de transmettre de mauvaises habitudes à ses enfants, mais il n’est pas non plus question de s’interdire de boire un peu d’alcool pendant les fêtes de fin d’années ou de famille, ni de proscrire définitivement l’alcool de la maison.

Alors comment aborder la question ? Pour Laurent Muraro, coordinateur général à Entraid’Addict, une association qui intervient régulièrement auprès des adolescents dans les collèges et les lycées, il est important de parler du sujet de l’alcool en famille et de ne pas attendre de le faire, un verre à la main, durant un dîner festif, où il serait alors compliqué de faire entendre pourquoi l’alcool est dangereux pour la santé.

« Avant 13 ans, l’interdit protecteur est de rigueur, et a priori à cet âge, les enfants ont plutôt confiance en leurs parents et ne remettent pas trop en cause ce qui leur est demandé.

Cependant, même chez les plus jeunes, il est important d’expliquer pourquoi on pose cet interdit, afin de lui donner du sens. Après 13 ou 14 ans, un interdit strict sur l’alcool pourrait engendrer chez les adolescents une envie de transgression.

Le dialogue est alors essentiel.
Les parents peuvent parler du fait qu’ils se doutent que leurs enfants ont peut-être déjà, ou pourraient bientôt, expérimenter l’alcool mais ils peuvent alors en rappeler les dangers. Ils peuvent aussi expliquer qu’en tant que parents, ils ne souhaitent pas leur en servir, même occasionnellement en famille, et faire incidemment passer le message que l’alcool est une boisson comme une autre, qu’il est banal de boire, voire que c’est incontournable lors d’une fête. », explique Laurent Muraro.

Pour finir citons Nicolas Prisse, président de la MILDECA qui estime que : « Les deux premiers tueurs en série en France restent l’alcool et le tabac. ».

Malheureusement nos enfants y sont quotidiennement exposés.
Il s’agit d’une formule « choc » mais les chiffres parlent d’eux-mêmes.

Avant 30 ans, la première cause évitable de mortalité est liée à la consommation d’alcool. Rappelons que l’alcool représente chaque année en France 41 000 décès qui pourrait être évités.

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