UK - Le père de Frome se joint à la campagne sur le cannabis médicinal au Parlement
Légalisé en 2018, mais depuis, seulement cinq personnes s'en sont vu prescrire sur le NHS, dont trois enfants.
Le père de Frome se joint à la campagne sur le cannabis médicinal au Parlement
Publié
il y a 2 jours
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Les manifestants devant le Parlement
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Spencer Carkeet s'est joint à plusieurs autres familles au Parlement pour appeler à un meilleur accès du NHS au cannabis médical.
Par Louis Inglis
nouvelles de la BBC
Un père a fait pression sur le Parlement pour un meilleur accès du NHS au cannabis médical pour sa fille de quatre ans.
Spencer Carkeet, de Frome, s'est rendu à Londres avec d'autres membres du groupe de campagne Save the Unicorn.
M. Carkeet a déclaré que le cannabis médicinal a grandement amélioré la qualité de vie de sa fille Clover, mais qu'il coûte cher à payer par le biais d'ordonnances privées.
Le gouvernement a déclaré que des recherches supplémentaires étaient nécessaires sur ces produits avant de pouvoir être largement déployés sur le NHS.
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Le groupe de campagne s'appelle Save the Unicorn car "tous nos enfants sont spéciaux et rares", a déclaré Mme Carkeet.
M. Carkeet et son épouse Emily ont déclaré qu'ils dépensaient des milliers de livres chaque année en médicaments sur ordonnance privés, travaillant souvent six jours par semaine pour financer les médicaments.
Mme Carkeet a déclaré : « Elle est passée de centaines de crises par semaine à seulement une poignée.
"Une crise pourrait la tuer. Si nous n'avons pas les médicaments pour garder ces crises à distance, alors Dieu sait ce qui peut arriver. C'est une chose à laquelle je reste éveillé en pensant.
"Nous nous battons pour l'accès au NHS depuis de nombreuses années maintenant.
"Sans ce médicament, nos enfants seraient en soins intensifs, voire pire, et cela coûterait au NHS des centaines de milliers de livres chaque année."
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Les Carkeets affirment que le cannabis médical a donné une meilleure qualité de vie à Clover, quatre ans.
Le cannabis a été légalisé à des fins médicales en 2018, mais depuis lors, seules cinq personnes s'en sont vu prescrire sur le NHS, dont trois enfants.
Les militants ont accusé le gouvernement d'avoir induit le public en erreur quant à sa disponibilité sur le NHS.
La députée libérale-démocrate de Somerton et Frome, Sarah Dyke, a rejoint les militants au Parlement mardi.
Elle a déclaré : « Nous devons agir plus rapidement et mener davantage d’essais afin de pouvoir fournir ce traitement aux personnes qui en ont besoin.
"La loi a changé il y a cinq ans. Ce dont nous avons besoin, ce sont des preuves démontrant que ce médicament profite aux gens."
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Les Carkeets dépensent des milliers de livres par an en ordonnances privées
Les médecins généralistes ne peuvent pas prescrire des produits médicaux à base de cannabis de manière indépendante, mais peuvent le faire sous la direction d'un médecin spécialiste.
Il existe deux médicaments autorisés à base de cannabis disponibles sur le NHS : le Sativex pour traiter la spasticité modérée à sévère chez les adultes atteints de sclérose en plaques, et l'Epidyolex pour le traitement de deux formes d'épilepsie.
Il existe également du Nabilone (une forme synthétique de THC – le composant psychoactif du cannabis) pour traiter les nausées et vomissements sévères provoqués par la chimiothérapie.
Les prestataires de soins de santé privés peuvent prescrire du cannabis médicinal pour diverses affections, telles que les troubles de l’alimentation, l’anxiété et la dépression.
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Clover, quatre ans, souffre d'une forme grave d'épilepsie
Un porte-parole du ministère de la Santé et des Affaires sociales a déclaré : « En 2018, nous avons modifié la loi pour permettre aux médecins spécialistes de prescrire des produits à base de cannabis, lorsque cela est cliniquement approprié, et pour faciliter la recherche sur ces produits.
« Les médicaments autorisés à base de cannabis sont régulièrement financés par le NHS lorsqu'il existe des preuves claires de leur qualité, de leur sécurité et de leur efficacité. » être envisagé pour un déploiement plus large sur le NHS.
Les directives cliniques de l'Institut national pour l'excellence en matière de santé et de soins (NICE) indiquent qu'il est nécessaire de mener davantage de recherches pour soutenir la prescription et le financement de routine du NHS.
Un porte-parole du NICE a déclaré : « Nous ne voulons pas interdire aux médecins de prescrire du cannabis médical aux enfants gravement épileptiques, car cela limiterait la recherche, et il n'y a aucune recommandation contre son utilisation.
"Cependant, il n'existe pas suffisamment de preuves de la sécurité et de l'efficacité de ces médicaments pour les recommander à l'ensemble de la population de personnes atteintes de cette maladie." Cela ne doit pas être interprété par les médecins comme signifiant qu'ils ne sont pas autorisés à envisager les médicaments lorsqu'ils sont cliniquement appropriés.
les médicaments classiques n’avaient que peu de bienfaits
Les médicaments classiques n’avaient que peu ou pas de bienfaits
mais beaucoup de méfaits indésirables des médoc$ addictifs,
dangereux pour la santé physique, mentale, économique
et jusqu'au sevrage douloureux nécessitant d'autres médoc$ !
Honteux !
Légalisé en 2018, mais depuis, seulement cinq personnes s'en sont vu prescrire sur le NHS, dont trois enfants.
Les autres parents des enfants épileptiques doivent violer, avec raison,
la loi bête et méchante et se tourner vers le marché illicite !
Le feriez-vous si c'était vos enfants souffrants en fin de vie ?
Refuser de prescrire le cannabis thérapeutique aux enfants c'est le contraire de leur serment:
Je ferai tout pour soulager les souffrances .
Je ne prolongerai pas abusivement les agonies .
Je ne provoquerai jamais la mort délibérément .
« Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèles à mes promesses ,
que je sois déshonoré et méprisé si j’y manque »
LES médecins ont choisi de respecter leur promesse de suivre aveuglément les Ordres
de devoir utiliser TOUTES les autres thérapies d'acharnement$ pharmaceutique$ dangereux, additifs, mortels,
avant de suggérer ou prescrire les cannabis et concentrés, non mortels.
Là où la Justice est vraiment égale pour tous:
Les Responsables doivent rendre compte de leur politique, et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/7602
Les parents de Frome plaident pour la prescription de cannabis médical par le NHS
Les parents de Clover, âgé de quatre ans,
dépensent près de 1 000 £ (1,200.17 US) par mois en huile de cannabis
Pas assez de preuves ?;O)))))))))
Trop de gaspillage en études/opinions par des chercheurs menacés d'amendes/emprisonnement et/ou dépendant$.
Plus de 55 ans de perte de temps, de vies et d'argents pour ne chercher
que des méfaits, malgré 8,000 ans de bienfaits et usages non mortels, 22 ans de thérapeutique légal !
Les gens continuent de prier pour la fin des guerres (de dieux/religions) même "si il n'y a pas assez de preuves"
et alors qu'il a été démontré que la prière n'est qu'un passe temps, comme les "faits un vœux", croiser les doigts, etc.?
Les religions millénaires sont basées sur des croyances/opinions ! Et des gens en meurent !
Les multiples bienfaits millénaires du cannabis sont des faits ! Et personne n'en meurt !;O)
Pas assez de recherches sur des humains ?
La faute à qui ?
22 ans de cannabis thérapeutique efficace légal au Canada, en Californie et au Colorado.
Qui n'a pas fait ou exigé de recherches sur des humains ?
Au Canada seulement c'est plus de 200 000 utilisateurs annuels
à qui on a pas demandé de faire parti de recherches préférant les études sur les rongeurs
et pire encore en préférant les sondages d'opinions aux recherches rigoureuses sur des humains double aveugle !
C'est un mensonge de plus concernant le cannabis aux multiples bienfaits et usages millénaires !
Et choisir de laisser souffrir et mourir ces enfants épileptiques réfractaire aux traitements médicamenteux classiques !
Laisser souffrir leurs parents responsables et familles.
La preuve a été faite que les jusqu'à 20 médicaments classiques par jour n'ont eu que peu ou pas d'effets désirable
pour les enfants souffrants et mourants d'épilepsie réfractaire aux traitements médicamenteux.
Rappelons que les médecins ont choisi de respecter la loi des Ordres de devoir utiliser TOUTES les autres thérapies
d'acharnement$ pharmaceutique$ avant de suggérer ou prescrire les cannabis et concentrés.
Préférant, par méchanceté ou dépendance aux pot$-de-vin,
violer leur serment de "TOUT FAIRE POUR SOULAGER LES SOUFFRANCES" !
Rappelons que ces enfants épileptiques réfractaire aux traitements médicamenteux classiques
ont besoin d'un mélange égal en THC et CBD 1 mg/ml de THC : 1 mg/ml de CBD.
N'avoir légalisé que le CBD ça ne fait pas cuire le riz, AUJOURD'HUI pour les enfants souffrants !
Ne pas rembourser ou exiger le remboursement
du cannabis thérapeutique cupidement dispendieux thérapeutique AUJOURD'HUI
c'est continuer, choisir, de laisser souffrir et mourir des enfants.
Un bel exemple de médecins qui n'exigent pas son remboursement pour les enfants épileptiques:
Lionel Carmant, ministre caquiste un neuropédiatre spécialisé en épilepsie infantile
qui prescrit des concentrés de cannabis efficaces depuis des années aux enfants épileptiques mais
qui refuse d'exiger son remboursement même si il sait que des enfants devront cesser cette thérapie efficace
parce qu'elle est exagérément trop dispendieuse pour leurs parents et la majorité des familles québécoise.
Il préfère violer son serment de "TOUT FAIRE POUR SOULAGER LES SOUFFRANCES"
et laisser souffrir les enfants et familles pour suivre la ligne de parti !
https://www.allodocteurs.fr/cannabis-therapeutique-du-cbd-teste-chez-les...
https://www.youtube.com/results?search_query=CBD+enfant+%C3%A9pileptiques
Vieille France
EPILEPSIE - Cannabis thérapeutique : du CBD testé chez les enfants épileptiques
À ce jour, l'utilisation du CBD est jugée efficace pour les patients souffrant d'épilepsie réfractaire aux traitements médicamenteux. Une centaine d’entre eux bénéficient d’une expérimentation menée par l’Agence du médicament.
Maroussia Renard
Rédigé le 20/09/2022
Cannabis thérapeutique : du CBD testé chez les enfants épileptiques — Le Mag de la Santé - France 5
Du CBD pour soulager l'épilepsie ? C'est ce que l'Agence du médicament expérimente chez une centaine de patients. Parmi eux, Haïtham, 13 ans, atteint d’une maladie d’origine génétique qui se traduit par un handicap sévère et des crises d’épilepsie récurrentes.
Comme chez un patient sur trois, les médicaments antiépileptiques classiques n’avaient que peu d’effets sur Haïtham.
Une surveillance très rigoureuse
L'adolescent bénéficie de l’expérimentation menée en ce moment en France sur le cannabis thérapeutique. Mais il ne prend que du CBD, ou cannabidiol, une des substances de la plante qui n’a aucun effet stupéfiant. Selon sa mère, les résultats sur son épilepsie sont spectaculaires.
Les enfants qui bénéficient de ce traitement expérimental sont surveillés de très près. Une fois par mois, Roseline a une téléconsultation obligatoire avec le neurologue qui suit son fils.
Pour Haïtham, le CBD est bien toléré et l’efficacité est réelle. Le neurologue décide donc de reconduire son traitement pour un mois. Mais ce dérivé du cannabis ne fonctionne pas aussi bien sur tous les patients.
Une "opportunité" pour les patients
"10 % de mes patients ont été très fortement améliorés, c’est-à-dire qu'ils n'ont quasiment plus de crises ou plus du tout. 20 à 30 % n'ont pas d'effet sur les crises, voire ont des effets secondaires. Ceux qui sont entre les deux vont diminuer plus ou moins la fréquence de leurs crises" observe le Professeur Stéphane Auvin, neuropédiatre à l'hôpital Robert-Debré.
Selon lui, le cannabidiol est "une opportunité" : "pour les patients qui ont une épilepsie pharmaco-résistante, c’est-à-dire qui continuent à faire des crises malgré les traitements, cela donne une option supplémentaire, mais ce n’est pas un médicament miracle".
Pour l’instant, le Professeur Auvin suit une vingtaine de patients sous CBD. Il faudra attendre la fin de l’expérimentation prévue en mars 2023 pour savoir si l’accès au cannabis à usage médical peut être généralisé en France.
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