Fin d’une grève d’un an et demi dans 24 SQDC
Aucun détail n’a filtré sur le contenu de l’offre, qui sera présentée en premier lieu aux syndiqués dimanche.
Fin d’une grève d’un an et demi dans 24 SQDC
SQDC rue st-Hubert
PHOTO D’ARCHIVES, CHANTAL POIRIER
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AGENCE QMI
Mercredi, 8 novembre 2023 16:41
MISE À JOUR Mercredi, 8 novembre 2023 16:41
Les employés de 24 succursales de la Société québécoise du cannabis (SQDC) qui étaient en grève depuis un an et demi devraient finalement rentrer au travail au cours des prochains jours.
Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui représente les travailleurs des 24 succursales en grève depuis la fin mai 2022, a annoncé être parvenu à une entente avec le gouvernement.
«Hier, les deux parties ont reçu une recommandation du conciliateur, qu’elles ont acceptée. Le syndicat a convenu de la présenter à ses quelque 230 membres du SCFP 5454 en vue de renouveler leur convention collective. Il en recommandera l’adoption», a fait savoir le SCFP.
«Nous sommes parvenus à une sortie de crise qui permettrait enfin aux travailleurs et travailleuses que nous représentons d’avoir des conditions salariales dignes d’une société d’État», s’est réjoui le conseiller syndical Daniel Morin.
Aucun détail n’a filtré sur le contenu de l’offre, qui sera présentée en premier lieu aux syndiqués dimanche.
Depuis le début de la grève, les cadres assuraient le fonctionnement des succursales de la SQDC. Celles-ci devaient cependant fermer ponctuellement au fil des absences ou vacances des derniers employés en poste, ce qui obligeait la SQDC à tenir un calendrier des fermetures sur son site internet.
La SQDC dispose d’environ 90 succursales au Québec, cinq ans après sa création dans la foulée de la légalisation du cannabis au Canada, en octobre 2018.














Aucun impact ou changement pour les 21 ans et moins !
“devraient finalement rentrer au travail au cours des prochains jours”.
Le contenu de l’offre, qui sera présentée en premier lieu aux syndiqués dimanche.
Hier, les deux parties ont reçu une recommandation du conciliateur, qu’elles ont acceptée. Le syndicat a convenu de la présenter à ses quelque 230 membres du SCFP 5454 en vue de renouveler leur convention collective. Il en recommandera l’adoption», a fait savoir le SCFP.
Aucun détail n’a filtré sur le contenu de l’offre, qui sera présentée en premier lieu aux syndiqués dimanche.
La SQDC dispose d’environ 90 succursales au Québec, (moins de 100),
cinq ans après sa création dans la foulée de la légalisation du cannabis au Canada,
en octobre 2018.
L'Ontario qui a accepté “La Légalisation Harmonisation Fédérale Efficace Du Récréatif”
et abritait le plus grand nombre de magasins de cannabis
parmi toutes les provinces canadiennes, soit 1 536 emplacements en juin 2023.
En Ontario, toute personne de 19 ans et plus
peut acheter, consommer, posséder, cultiver et partager
du cannabis à des fins récréatives dans les limites légales.
Au Québec ségrégationniste conservateur
"Anti Justice Pour Tout Le peuple Du Québec" et Droits Humains Égaux.
la seule des 10 Provinces et 3 Territoires du Canada à voir refusé
"La Légalisation Harmonisation Canadienne Efficace Du Récréatif"
qui a préféré mettre en contact les 200 000 adultes légaux à 18 ans de 18-21 ans
avec les organisations criminelles aux produits de pharmaceutiques dangereux mortels
à qui il fourni plus de 20 MILLION$ trimestre non taxés (2 MILLION$ trimestre).
Une personne de 18 ans n’est plus un adulte mais un jeune !
Si il consomme du cannabis légal.
Rappelons que les enfants de 6-12 ans et moins
"dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans" ont le droit de consommer
de la drogue/fléau mondial , l'alcool un dépresseur psychoactif, cancérigène, mortel
à dépendance physique et psychique TRÈS FORTE comme l'héroïne.
Il n'y a que les fous qui ne changent pas d'idée !
Vouloir à tout prix garder les siennes contre l'évidence est un signe de bêtise.
Contre les évidences et résultats de recherches scientifiques sur des humains
Selon les/des rumeurs ...
C'est ce que la femme de Legault lui répète souvent ainsi que
tu n'est qu'un humain taré orgueilleux colérique qui fait des erreurs mortelles et qui va CONTINUER d'en faire.
Humains tarés c'est aussi ce que les marionnettes à gaine comme Geneviève Guilbault doivent répéter aux médias.
Simon Jolin-Barrette "Ministre Anti Justice Égale Pour Tout Le peuple Canadien Du Québec"
"Anti respect d'une minute de silence" il est où et fait quoi pour mériter son 30 % d'augmentation ?
Rappelons qu'en plus des 18-21 ans les caq ne respectent pas les retraités invalides *
Lui qui a refusé d'accepter "La Légalisation Harmonisation Canadienne/Fédérale Efficace Pour Le Récréatif"
choisi de criminaliser et mettre en contact les adultes légaux de 18-21 ans avec les organisations criminelles
à qui ils fournissent 200 000 clients et plus de 20 MILLION$ trimestre non taxés depuis 2018.
20 MILLION$ trimestre non taxés c'est 2 MILLION$ trimestre en taxes impayées !
PS: Je trouve que
Eric Girard - Ministre des Finances
Ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise. Hi ! Bonjour ! (niveau 4)
Ressemble la Mr Burns des Simpsons !;O)
Pendant que la caq fourni plus de 20 MIILLION$ trimestre non taxés au marché illicite depuis 2018,
ainsi qu'aux industries polluantes, et gaspille les millions de revenus de la SQDC...
Eric Girard, n’a pas souhaité commenter le sujet, soulignant qu’il s’agit d’un dossier judiciarisé.
Il s'agit d'un dossier que son gouvernement d'économistes/dealmakers sans cœur/compassion
a judiciarisé en faisant appel !
* Des aînés invalides livrent un combat pour un revenu décent
https://www.ledevoir.com/economie/799262/retraite-aines-invalides-livren...
[Accueil] [Économie]
Des aînés demandent à Québec de ne pas maintenir une pénalité jugée discriminatoire, qui les garde dans la pauvreté.
Jacques Nadeau Archives Le Devoir Des aînés demandent à Québec de ne pas maintenir une pénalité jugée discriminatoire, qui les garde dans la pauvreté.
Roxane Léouzon
3 octobre 2023
Économie
Les personnes qui sont devenues invalides avant l’âge normal de la retraite subissent une baisse draconienne de leurs revenus à partir de 65 ans. Elles ne peuvent pas toucher la pleine rente à laquelle elles ont cotisé pendant leur vie active, pénalisées par une disposition de la Loi sur le régime de rentes du Québec. Le Tribunal administratif du Québec (TAQ) a jugé cet été que cet article est discriminatoire et inconstitutionnel, mais le gouvernement provincial a choisi de contester cette décision. Le Devoir a récolté les témoignages d’aînées touchées, prêtes à se battre pour leur qualité de vie.
Mathilde Bérubé, résidente de Saguenay, a travaillé plus de 25 ans comme technicienne informatique pour une commission scolaire. Sa santé mentale s’est ensuite détériorée au point que son employeur l’a forcée à arrêter. « Je voulais tellement poursuivre mon travail malgré tout que j’ai déposé un grief », se rappelle-t-elle.
Après un diagnostic de trouble bipolaire et de trouble anxieux, elle a été déclarée invalide à l’âge de 47 ans. « Ça a été très difficile. Quand des gens me demandaient ce que je faisais dans la vie, je patinais tout le temps », raconte celle qui a fait plusieurs séjours dans des hôpitaux psychiatriques. Elle dit fonctionner aujourd’hui « presque normalement » grâce à une lourde médication. Elle reçoit aussi des injections chaque mois pour le traitement de l’arthrite rhumatoïde.
Avant ses 65 ans, elle bénéficiait d’une rente d’invalidité du Régime de rentes du Québec (RRQ) de 1260 $ par mois qui, combinée à ses assurances privées, lui garantissait des revenus d’un peu plus de 33 000 $ par année. À partir de 65 ans, le RRQ remplace la rente d’invalidité par une rente de retraite. Elle ne reçoit aujourd’hui que 911 $ de ce régime. Pourquoi ? N’ayant pas cotisé lors des 18 dernières années, sa rente est déjà réduite. Par-dessus le marché, l’article 120.1 de la Loi sur le régime de rentes, ajouté en 1997, fait en sorte que ce montant est coupé de 24 % si le bénéficiaire a reçu une rente d’invalidité entre 60 et 65 ans. Il s’agit d’une pénalité similaire à celle qui est appliquée aux personnes qui prennent volontairement une retraite anticipée.
Mme Bérubé ne reçoit plus non plus de prestations de ses assurances privées, mais plutôt un montant, beaucoup moins élevé, de la Sécurité de la vieillesse du Canada. Ses revenus sont tombés à moins de 20 000 $ par année.
Se serrer la ceinture
Comme bien d’autres, la Saguenéenne n’était pas préparée à une telle baisse. Elle dit avoir coupé presque tous ses loisirs. Elle a réhypothéqué la maison qu’elle possède avec son amie. Pour pouvoir continuer de payer sa carte de golf annuelle, qu’elle juge importante pour sa santé mentale fragile, elle a commencé à piger dans ses REER.
« Je n’arrête pas de vendre des choses sur Marketplace. Notre priorité est de pouvoir garder la maison le plus longtemps possible », a déclaré Mme Bérubé. Elle a aussi tenté un retour au travail, l’automne passé, dans un magasin à grande surface. « Je n’ai fait que trois semaines. Ma santé ne me le permet pas du tout », a-t-elle déploré.
Mme Bérubé a vécu toute une gamme d’émotions depuis que le gouvernement a décidé en août dernier de demander une révision, devant la Cour supérieure, du jugement du TAQ datant du 28 juillet qui invalide cette disposition de la Loi. Dans son pourvoi en contrôle judiciaire, le Procureur général du Québec avance que la décision est « erronée en droit et non justifiée ».
« Je ne comprends pas cet acharnement sur des aînés démunis », a-t-elle dit, choquée. Plus de 26 000 personnes étaient touchées par cette mesure en 2019, peut-on lire dans le jugement du TAQ, ce qui représente un peu plus d’un pour cent des rentiers du RRQ.
Des personnes mobilisées
Malgré leur santé précaire, plusieurs de ces personnes sont fortement mobilisées, réunies dans le groupe Facebook Invalides au front, qui compte près de 1500 membres. Mme Bérubé a notamment écrit à des députés et interpellé des journalistes.
Liliane Paquette a envoyé à plusieurs associations la pétition demandant au gouvernement de reculer. Elle veut aussi être un porte-voix pour les personnes comme elle. « Même si je suis invalide, j’ai travaillé pendant 30 ans, a fait valoir la résidente de Saint-Lin–Laurentides. On a contribué à bâtir le Québec ! »
On a contribué à bâtir le Québec !
— Mathilde Bérubé
Depuis 2005, elle est atteinte de leucémie lymphoïde chronique, une maladie incurable qu’elle associe au contact de pesticides en milieu agricole. Sa baisse de revenus est comparable à celle de Mme Bérubé.
« J’ai la chance d’avoir un conjoint. Sans lui, ce serait ma maison, l’héritage de mon petit-fils, qui y passerait, a-t-elle évalué. Je regarde tous les autres qui sont moins chanceux que moi. Avec les loyers qu’on a actuellement, ça peut être l’itinérance directe. »
Mme Paquette indique que de nombreuses dépenses sont associées à sa maladie. « Quand je dois aller à l’hôpital, il y a le stationnement à payer, tu dois manger sur place », a-t-elle donné en exemple.
« Si les caisses étaient vides, je comprendrais, mais elles sont pleines », s’est indignée Mme Paquette, faisant référence à la bonne santé financière du Régime de rentes du Québec.
Interpellé sur la question, le cabinet du ministre des Finances, Eric Girard, n’a pas souhaité commenter le sujet, soulignant qu’il s’agit d’un dossier judiciarisé.
Fier de son père
Kevin Mc Lean, lui, est encore sur le marché du travail. C’est pour poursuivre l’oeuvre de son père qu’il défend cette cause. Richard Mc Lean est à l’origine du recours en justice entamé en 2020 pour faire corriger ce qu’il jugeait être une injustice. Il avait été terrassé par un AVC à 50 ans, qui l’avait laissé handicapé.
« Il s’était dit : “Ça va prendre tellement de temps pour obtenir justice, je vais être mort avant.” C’est un peu ça qui est arrivé », a mentionné son fils. En mars 2022, Richard Mc Lean a reçu l’aide médicale à mourir.
« Une des dernières phrases qu’il nous a dite, c’était pour s’excuser de ne pas pouvoir nous laisser un héritage », s’est rappelé son fils avec tristesse.
Kevin Mc Lean demande au gouvernement de laisser tomber son recours qui, selon lui, « retarde une évidence », alors que de nombreuses personnes ont besoin de leur pleine rente dès maintenant pour vivre décemment.
M. Mc Lean a lancé une campagne de sociofinancement pour couvrir les frais juridiques nécessaires à leur représentation devant la Cour supérieure du Québec. La Confédération des syndicats nationaux fait partie de ceux qui appuient la cause, ayant annoncé vendredi un don de 2500 $.
Selon l’avocate Sophie Mongeon, qui les représente, l’audience pourrait avoir lieu au printemps 2024.
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