Le juge réduit les accusations de marijuana contre un ancien policier de Chico à un délit
son accusation criminelle réduite à un délit lors d'une audience préliminaire devant la Cour supérieure du comté
Le juge réduit les accusations de marijuana contre un ancien policier de Chico à un délit
Les procureurs allèguent que Rush a contribué à la délinquance d'un mineur
Par CHICO ENTERPRISE-RECORD |
15 septembre 2023 à 4h02
OROVILLE — Un ancien officier du département de police de Chico a vu son accusation criminelle réduite à un délit lors d'une audience préliminaire devant la Cour supérieure du comté de Butte à Oroville mardi, selon un communiqué de presse.
Les procureurs ont allégué que l'ancien officier Nicholas Lee Rush, âgé de 49 ans, avait fourni de la marijuana et des produits à base de marijuana à un membre de la famille âgé de 17 ans, et que la jeune fille avait été encouragée à vendre certaines de ces drogues à la petite amie adulte de Rush.
Le procureur du comté de Butte, Mike Ramsey, a déclaré que les allégations découlaient d'une enquête sur une activité survenue au domicile de l'accusé Rush en 2022.
Lors de l'audience, l'enquêteur d'un procureur de district a déclaré qu'en août 2022, l'ex-femme de l'accusé avait fourni des messages texte partagés entre Rush et le mineur qui se trouvaient sur le téléphone portable du mineur, selon le communiqué du bureau du procureur. Les messages comprenaient des photos de plants de marijuana poussant dans le jardin de Rush.
Ramsey a déclaré que les messages incluaient la jeune fille demandant à Rush de prendre soin des plants de marijuana du mineur, notamment de les arroser et de les déplacer pour maximiser la quantité de lumière solaire qu'ils recevaient. Rush a également prêté de l'argent à la jeune fille pour acheter une serre portable dans laquelle cultiver de la marijuana.
Dans une autre conversation textuelle, Rush demandait au mineur si la petite amie de Rush pouvait obtenir une « dab » – du cannabis concentré – auprès du mineur. Les messages entre le mineur et la petite amie de Rush détaillaient les multiples ventes de marijuana entre le mineur et la petite amie, selon le communiqué.
À la fin de l'audience préliminaire, Ramsey a déclaré que son procureur avait soutenu que Rush l'aidait activement à cultiver – et donc à posséder – de la marijuana. Le procureur a affirmé cela parce que Rush faisait plus que simplement permettre passivement au mineur de cultiver de la marijuana dans son jardin.
Canada: jusqu’à 14 ans d’emprisonnement
Canada: jusqu’à 14 ans d’emprisonnement
Plus cool aux USA qu'au Canada pour les accusations de:
- donner, fourni ou vendre du cannabis à un jeune (mineur);
- se servir d'un jeune (mineur) pour commettre une infraction liée au cannabis.
Est-ce que c'était parce que c'était un ancien policier.
La réduction des accusations de marijuana contre un ancien policier de Chico « à un délit » ?
Ou manque de preuves ?;O)))
https://www.justice.gc.ca/fra/jp-cj/cannabis/
Restrictions liées à l'âge
Certaines infractions ciblent expressément les personnes qui fournissent du cannabis aux jeunes.
Il est interdit à quiconque de vendre ou de fournir du cannabis à une personne de moins de 18 ans.
Il y a deux infractions criminelles liées au fait de fournir du cannabis à un jeune,
assorties de peines « pouvant aller jusqu’à 14 ans d’emprisonnement », soit :
- donner ou vendre du cannabis à un jeune;
- se servir d'un jeune pour commettre une infraction liée au cannabis.
Rappelons qu'au Québec caquiste ségrégationniste cannaphobe:
"Anti Justice Égale Pour Tout Le peuple Du Québec"
"Anti Légalisation Harmonisation Canadienne Efficace" !
Un parent responsable qui consomme du cannabis légal non mortel
avec son adulte légal à 18 ans, (de moins de 21 ans) risque « jusqu’à 14 ans d’emprisonnement » !
Même si les peines maximales ne sont qu'exceptionnellement imposées.
Parent qui refuse de mettre en contact son adulte légal avec les organisations criminelles
ce que les caq et les associations de médecins/psychiatres cannaphobes du Québec
ont imposé aux adultes légaux de 18-21 ans depuis 2018.
Mise en contact avec les médicament$ de pharmaceutique$ dangereux, mortels, addictifs,
comme le fentanyl dont les surdoses mortelles ne cessent d'augmenter.
Un lien de causalité acceptable, évitable, comme ce l'est pour le tabac et l'alcool !
Alors qu'un parent irresponsable peut boire légalement avec son enfants de 6-12 ans et moins,
dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans,
de l'alcool, un dépresseur psychotrope, cancérigène, mortel, qui n'a aucun usage thérapeutique/médical,
à dépendance physique et psychique TRÈS FORTE comme l'héroïne.
Sans risque de jusqu’à 14 ans d’emprisonnement , ni de visite de la police, de la DPJ !
DPJ
L’objectif de la DPJ est de protéger les enfants dont la sécurité
ou le développement est (ou peut être) considéré comme compromis.
Laisser boire des enfants nuis à leur sécurité, leur développement et ne les protège pas !
Ils n'exigent pas d'âge minimum de consommation d'alcool par les enfants !?
ÉDUC'ALCOOL
À 14 ans, près des deux tiers des enfants du Québec ont déjà consommé de l'alcool.
(Lien de causalité avec la consommation légale pour/par les enfants de 6-12 ans et moins ?)
Il y a deux chances sur trois que ce soit le cas du vôtre.
(Plus un malheur qu'une chance !)
Qui n'exigent pas d'âge minimum de consommation d'alcool par les enfants, mais l'encourage !?
INSPQ
Entre 2000-2001 et 2017-2018, la consommation abusive chez les consommateurs d’alcool de 12 ans et plus a augmenté de 18 % à 27 %, représentant une augmentation de 50 %.
Qui n'exigent pas d'âge minimum de consommation d'alcool par les enfants !?
LA caq ET LES ASSOCIATIONS DE MÉDECINS/PSYCHIATRES (DU QUÉBEC)
N'exigent pas d'âge minimum de consommation d'alcool par les enfants !
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