Les enfants vs. les écrans - Kids vs. Screens
Les bébés peuvent faire défiler avant de pouvoir ramper, avoir droit à l’alcool, et au cannabis !
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Comment les écrans affectent le développement, les capacités d’apprentissage et la santé mentale de nos enfants.
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Les enfants vs. les écrans
The Nature of Things / Nature des choses
Les bébés peuvent faire défiler avant de pouvoir ramper. Beaucoup d’enfants ne savent pas lire une carte, mais ils peuvent naviguer sur un iPad. Et les adolescents ? Ils vivent sur leurs smartphones.
Nos enfants sont accros aux écrans, surtout maintenant, alors que la pandémie a fait monter en flèche le temps d’écran. Des parents frustrés sont enfermés dans une bataille avec des enfants qui sont collés à YouTube ou qui glissent leurs iPhones sous les couvertures.
Dans Kids vs. Screens, un documentaire de The Nature of Things, l’animateur invité Dan Riskin, biologiste, journaliste scientifique et auteur, explore les dernières recherches pour découvrir comment les « baby-sitters numériques » peuvent affecter le développement, les capacités d’apprentissage et la santé mentale des enfants. Père de trois enfants, Riskin est en quête de comprendre la science du temps d’écran, voyageant partout, d’un laboratoire d’imagerie cérébrale utilisant les histoires de Robert Munsch comme outil de recherche à une classe de maternelle où il reçoit une leçon pratique sur la façon dont les enfants apprennent.
En tant que scientifique, Riskin est à la recherche de faits. En tant que père, il cherche des conseils. Il s’inquiète du désir croissant de ses enfants de passer plus de temps à l’écran – et de la façon de gérer les disputes familiales qui peuvent en résulter.
« En tant que scientifique, je veux prendre des décisions parentales fondées sur des données », explique M. Riskin. « Mais en tant que père qui essaie de mettre le dîner sur la table, ma vie devient tellement plus facile lorsque je peux simplement donner un iPad à mes enfants. Est-ce vraiment si grave ? Combien de temps est trop de temps, et quelles en sont les conséquences ?
Comme beaucoup de parents, Riskin se pose beaucoup de questions :
l’utilisation des écrans est-elle vraiment une addiction ?
Comment cela affecte-t-il le cerveau des enfants ?
Et qu’est-ce que TikTok de toute façon ?
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Dans sa quête de réponses, Riskin rend visite à des experts de premier plan, s’immerge dans le monde de l’enfance virtuelle et rencontre un groupe de jeunes utilisateurs avertis de la technologie. Myah, 18 ans, lui apprend les tenants et aboutissants des médias sociaux. Abby a une dépendance au téléphone qui a endommagé ses relations dans la vie réelle ; et Kaeden est un élève de sixième année super intelligent obsédé par les jeux vidéo.
La science du temps d’écran n’en est encore qu’à ses balbutiements. Après tout, l’iPhone n’est sorti qu’en 2007, l’iPad en 2010, et les chercheurs débattent encore des avantages et des inconvénients de « trop » de télévision, sept décennies après qu’elle ait envahi nos salons.
« La recherche s’appuie fortement sur des enquêtes autodéclarées et est difficile à étudier », note la cinéaste Leora Eisen. « Il y a beaucoup de nuances – ce n’est pas de la science [toute faite]. Pendant ce temps, les parents se disputent avec leurs enfants à ce sujet. Au lieu de culpabiliser les parents, je veux les armer d’informations.
Alors que la technologie continue de changer la vie de famille à un rythme effréné, Kids vs. Screens plaira aux parents, aux jeunes et à tous ceux qui ne peuvent pas résister à un dernier coup d’œil à leur écran.
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La recherche s’appuie fortement sur des enquêtes autodéclarées
La science du temps d’écran n’en est encore qu’à ses balbutiements.
« La recherche s’appuie fortement sur des enquêtes autodéclarées et est difficile à étudier ».
Plus de recherches nécessaires !;O)))
Alors pourquoi ces "affirmations" suite à des ouï-dire ?
Beaucoup d’enfants ne savent pas lire une carte, mais ils peuvent naviguer sur un iPad.
Utilisation de "LES" enfants (tous les) et non "DES" enfants (plus d'un) ?
"Les" bébés peuvent faire défiler avant de pouvoir ramper.
Et "les" adolescents ? Ils vivent sur leurs smartphones.
Comme "les" parents !;O)
"Nos" enfants sont accros aux écrans, surtout maintenant,
alors que la pandémie a fait monter en flèche le temps d’écran.
Test sur des humains vs. sondages !
La déontologie est aussi facilement violable que le serment des médecins dépendants aux pot$-de-vin,
de "Tout Faire Pour Soulager Les Souffrances".
La déontologie interdit de fournir de l'alcool, du tabac , du cannabis
à des enfants, des adolescents, des non adultes légaux, pour les recherches scientifiques.
Pour les médicaments comme les vaccins c'est différent, acceptable !
Exemple : les vaccins COVID testés sur des enfants.
La déontologie n'a pas empêché des parents (pauvres et d'esprit) payés pour louer leurs enfants
de 6 moins et moins comme cobayes pour les industries pharmaceutiques !?
L'Organisation Mondiale de la Santé définit un vaccin comme « une préparation biologique qui améliore l'immunité contre une maladie particulière ». Un vaccin contient généralement un agent qui ressemble à un micro-organisme pathogène et est souvent fabriqué à partir de formes affaiblies ou tuées du microbe, de ses toxines ou de l’une de ses protéines de surface. L'agent stimule le système immunitaire de l'organisme à reconnaître l'agent comme étranger, à le détruire et à « s'en souvenir », afin que le système immunitaire puisse reconnaître et détruire plus facilement n'importe lequel de ces micro-organismes qu'il rencontrera ultérieurement.
Nous mettons dans notre corps quelque chose qui ressemble ou contient une infime partie du « microbe » qui produit la maladie afin que notre corps puisse produire les bons agents pour la combattre au cas où nous contracterions réellement la vraie maladie.
Un vaccin est composé d’un ingrédient actif et d’autres ingrédients ajoutés. Comme tout autre médicament, l’ingrédient actif est le composant clé qui déclenche la réponse immunitaire. En plus de cela, les ingrédients ajoutés ont différents rôles, tels que l'amélioration de la réponse immunitaire ou le rôle de conservateur, de stabilisant ou de liquide de suspension.
Ces ingrédients ajoutés sont ceux qui sont parfois contestés en raison de leur toxicité. Mais quand on parle de toxicité, il y a un point très important à souligner. Tout est toxique.
Tout dépend de la dose que vous mangez, buvez ou insérez dans votre corps.
Un indicateur important de toxicité est la DL50 (Dose Léthale/Mortelle),
qui est la dose, prise/administré en une seule fois, à laquelle 50 % des individus meurent.
50 % d'animaux pas d'humains !;O)
Sept DL50 sur 8 proviennent d'études sont conduites chez le rongeur (rat et souris).
À noter que le cannabis aux multiples bienfaits et usages millénaires n'a aucune Dose Léthale DL50
pour les humains, les primates, les chiens et les chats !
Cannabis DL50.
À quel point difficile à atteindre, vous demandez-vous?
Eh bien, pour frapper les portes nacrées, vous auriez besoin de fumer environ 1 500 livres (680 kg) de cannabis en 15 minutes. Si vous essayez de faire le calcul sur le nombre joints que cela prendrait, ne vous embêtez pas. Les effets de la fumée elle-même, et fumer à ce degré agressif, vous tueraient bien avant que le THC ne le fasse.
Vous pouvez ingérer plus de THC avec des produits comestibles puisqu’il n’y a pas de fumée, mais il y a plus à considérer. Vous auriez toujours besoin de consommer 50 grammes de THC pur pour avoir 50% de chances de mourir en tant qu’homme adulte. Même avec les produits comestibles les plus puissants, vous êtes plus susceptible de mourir de la consommation excessive de sucre et de sel.
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