Plus de la moitié (59 %) a déclaré que le cannabis était un outil précieux dans les cas où les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces.
Un outil précieux dans les cas où "les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces".
Ce qui prouve sa puissance supérieure aux autres options de traitement$ qui n’étaient pas tolérables ou efficaces !
Selon les ordres de l'Ordre et malgré le serment "De Tout Faire Pour Soulager Les Souffrances"
« À ne prescrire que dans les cas où les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces. »
Ainsi qu'aux humains en fin de vie !
Parmi les professionnels de la santé qui ne recommandent pas le cannabis à des fins médicales, la plupart (58 %) ont mis en avant "un manque perçu de preuves" sur l’efficacité du cannabis ou un manque d’information sur le dosage approprié (55 %) pour expliquer pourquoi.
Pas assez de recherches manque perçu de preuves ?
Rappelons que le cannabis thérapeutique est légal depuis 22 ans au Canada au Colorado et en Californie.
Combien de ces médecins ignorants ont fait et/ou exigé des recherches sur des humains double aveugle en 22 ans ?
À qui la faute ?
Les prohibitionnistes, les médecins/psychiatres/pédiatres dédaigneux pro-médoc$ et accros aux pots-de vin !
Le dosage ?
Peu importe le dosage le cannabis n'a pas de dose mortelle chez l'humain.
Pour mourir, un fumeur doit calciner environ 42 kg (92 livres) 42000 g de weed en 15 minutes.
Devrait être inscrit sur la Mise en Garde des dangers du cannabis !?
Même si ils connaissent les dosages de médoc$ dangereux, à dose et surdoses mortelles, addictifs.
Ils fonctionnent par essais et erreurs !
C'est le patient qui informera le médecin de l'efficacité, des effets intolérables du dosage même si il est connu.
Près de la moitié (48 %) ont déclaré qu’ils avaient l’impression de ne pas être suffisamment informés sur l’utilisation du cannabis médical ou qu’ils étaient préoccupés par les effets secondaires négatifs (47 %). 64% des professionnels de la santé ont déclaré avoir reçu davantage de demandes d’information sur l’utilisation du cannabis à des fins médicales depuis la légalisation.
Qu’ils étaient préoccupés par les effets secondaires négatifs ?
Les effets secondaires négatifs du CBD ou du mélange efficace de CBD et THC ?
CBD et THC à taux égaux pour éviter des effets secondaires désagréables pour une minorité.
Rendre joyeux est un effet désagréable pour le cannabis
mais un bienfait recherché pour les médocs des BigFarma.
Serpents d'hypocrites !
Médecins qui prescrivent à pocheté, répétition et pendant des années
des produits de pharmaceutiques à effets négatifs, intolérables ou inefficaces,
parfois pire que la maladie et à dose mortelle !
À peine 100 médecins autorisés à le prescrire – sur environ 30 000
– et il y a encore une réticence considérable parmi les professionnels de la santé à s’y engager.
Pour que ça change !
Un cours de 40 heures pour favoriser le passage d'un dernier recours à une première ligne de défense !
Extrait:
Une meilleure compréhension favorisera le cannabis d’être, aux yeux de
nombreux médecins, un dernier recours à une première ligne de défense dans
les cas où il y a un avantage clinique clair.
En collaboration avec le ministère de la Santé, lui et d’autres ont créé un
cours physique pour les médecins en Israël afin d’obtenir une licence pour
prescrire du cannabis.
Les médecins qui suivent le cours de 40 heures, dirigé par le Centre
multidisciplinaire de recherche sur les cannabinoïdes (MCCR) de l’Université
hébraïque, et réussissent un examen du ministère de la Santé, sont autorisés
à prescrire du cannabis.
Le professeur Tam veut que plus de médecins suivent le cours de
prescription, mais plus que cela, il veut que tous les professionnels de la
santé comprennent les avantages du cannabis médical.
Une meilleure compréhension favorisera le cannabis d’être, aux yeux de
nombreux médecins, un dernier recours à une première ligne de défense dans
les cas où il y a un avantage clinique clair.
Enquête auprès des professionnels de la santé.
Plus de la moitié (59 %) a déclaré que le cannabis était un outil précieux dans les cas où les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces.
Un outil précieux dans les cas où "les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces".
Ce qui prouve sa puissance supérieure aux autres options de traitement$ qui n’étaient pas tolérables ou efficaces !
Selon les ordres de l'Ordre et malgré le serment "De Tout Faire Pour Soulager Les Souffrances"
« À ne prescrire que dans les cas où les autres options de traitement n’étaient pas tolérables ou efficaces. »
Ainsi qu'aux humains en fin de vie !
Parmi les professionnels de la santé qui ne recommandent pas le cannabis à des fins médicales, la plupart (58 %) ont mis en avant "un manque perçu de preuves" sur l’efficacité du cannabis ou un manque d’information sur le dosage approprié (55 %) pour expliquer pourquoi.
Pas assez de recherches manque perçu de preuves ?
Rappelons que le cannabis thérapeutique est légal depuis 22 ans au Canada au Colorado et en Californie.
Combien de ces médecins ignorants ont fait et/ou exigé des recherches sur des humains double aveugle en 22 ans ?
À qui la faute ?
Les prohibitionnistes, les médecins/psychiatres/pédiatres dédaigneux pro-médoc$ et accros aux pots-de vin !
Le dosage ?
Peu importe le dosage le cannabis n'a pas de dose mortelle chez l'humain.
Pour mourir, un fumeur doit calciner environ 42 kg (92 livres) 42000 g de weed en 15 minutes.
Devrait être inscrit sur la Mise en Garde des dangers du cannabis !?
Même si ils connaissent les dosages de médoc$ dangereux, à dose et surdoses mortelles, addictifs.
Ils fonctionnent par essais et erreurs !
C'est le patient qui informera le médecin de l'efficacité, des effets intolérables du dosage même si il est connu.
Près de la moitié (48 %) ont déclaré qu’ils avaient l’impression de ne pas être suffisamment informés sur l’utilisation du cannabis médical ou qu’ils étaient préoccupés par les effets secondaires négatifs (47 %). 64% des professionnels de la santé ont déclaré avoir reçu davantage de demandes d’information sur l’utilisation du cannabis à des fins médicales depuis la légalisation.
Qu’ils étaient préoccupés par les effets secondaires négatifs ?
Les effets secondaires négatifs du CBD ou du mélange efficace de CBD et THC ?
CBD et THC à taux égaux pour éviter des effets secondaires désagréables pour une minorité.
Rendre joyeux est un effet désagréable pour le cannabis
mais un bienfait recherché pour les médocs des BigFarma.
Serpents d'hypocrites !
Médecins qui prescrivent à pocheté, répétition et pendant des années
des produits de pharmaceutiques à effets négatifs, intolérables ou inefficaces,
parfois pire que la maladie et à dose mortelle !
ISRAËL:
https://www.blocpot.qc.ca/fr/forum/7064
À peine 100 médecins autorisés à le prescrire – sur environ 30 000
– et il y a encore une réticence considérable parmi les professionnels de la santé à s’y engager.
Pour que ça change !
Un cours de 40 heures pour favoriser le passage d'un dernier recours à une première ligne de défense !
Extrait:
Une meilleure compréhension favorisera le cannabis d’être, aux yeux de
nombreux médecins, un dernier recours à une première ligne de défense dans
les cas où il y a un avantage clinique clair.
En collaboration avec le ministère de la Santé, lui et d’autres ont créé un
cours physique pour les médecins en Israël afin d’obtenir une licence pour
prescrire du cannabis.
Les médecins qui suivent le cours de 40 heures, dirigé par le Centre
multidisciplinaire de recherche sur les cannabinoïdes (MCCR) de l’Université
hébraïque, et réussissent un examen du ministère de la Santé, sont autorisés
à prescrire du cannabis.
Le professeur Tam veut que plus de médecins suivent le cours de
prescription, mais plus que cela, il veut que tous les professionnels de la
santé comprennent les avantages du cannabis médical.
Une meilleure compréhension favorisera le cannabis d’être, aux yeux de
nombreux médecins, un dernier recours à une première ligne de défense dans
les cas où il y a un avantage clinique clair.