Un groupe de médecins appelle à la dépénalisation du cannabis
les infirmières , les pharmaciens , les cliniciens et les infirmières praticiennes – reconnaissent systématiquement qu’ils ne sont pas suffisamment formés pour conseiller les patients sur des questions spécifiques au cannabis médical.
Un groupe de médecins appelle à la dépénalisation du cannabis
PAR NORML POSTÉ LE 25 JUILLET 2024
Washington, DC : L'American College of Physicians, qui représente les intérêts de plus de 160 000 médecins de médecine interne, a publié un nouveau document d'orientation appelant à la dépénalisation des activités impliquant la possession personnelle de cannabis.
L’organisation recommande la dépénalisation « pour aider à remédier aux inégalités systémiques et promouvoir des alternatives axées sur le traitement aux sanctions pénales pour les troubles liés à la consommation de substances ».
L’ACP stipule notamment que « la possession de petites quantités de cannabis pour usage personnel doit être dépénalisée ». Elle demande également des ressources supplémentaires pour les organismes chargés de réglementer les produits à base de cannabis légaux dans les États et une meilleure formation pour les médecins et autres professionnels de la santé.
« Le cannabis devrait être intégré dans les programmes d’études sur la consommation de substances à tous les niveaux de la formation des médecins », affirme le groupe. Les professionnels de la santé aux États-Unis et à l’étranger – y compris les infirmières , les pharmaciens , les cliniciens et les infirmières praticiennes – reconnaissent systématiquement qu’ils ne sont pas suffisamment formés pour conseiller les patients sur des questions spécifiques au cannabis médical.
Une liste complète des recommandations de l’ACP apparaît dans la revue Annals of Internal Medicine.














Dépénalisation Vs Décriminalisation
les infirmières , les pharmaciens , les cliniciens et les infirmières praticiennes – reconnaissent systématiquement qu’ils ne sont pas suffisamment formés pour conseiller les patients sur des questions spécifiques au cannabis médical.
J'ajoute les médecins à la liste de ceux qui :
reconnaissent systématiquement qu’ils ne sont pas suffisamment formés
pour conseiller les patients sur des questions spécifiques au cannabis médical.
Et ceux qui ne veulent pas être informés peu importe la raison, morale, cupidité, syndrome amotivationnel ou autre.
« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir. »
Refus de reconnaitre 23 ans de cannabis médical non mortel légal en Californie, au Colorado et au Canada
avec des centaines de milliers d'utilisateurs de fleurs et concentrés à différents taux de THC et CBD
chaque jour et plusieurs fois par jour par des humains et animaux de tous âges.
Exemple : les enfants avec épilepsie résistante aux médicaments inefficaces mais prescrits pendant des années
qui sont soulagés grâce au cannabis prouvé efficace en mélange de THC et CBD 1:1.
Rappelons qu'il ne faut que 50 heures de cours payées
pour se mettre à jour devenir compétent en cannabis.
Ç'est ça le fléau mondial pas le cannabis !
Ce n'est pas qu'aux États-Unis ce fléau.
Ils font parti des boulets !
1- Réussir à trouver un médecin, infirmière , pharmacien, clinicien et infirmière praticienne
2- Trouver un médecin, infirmière , pharmacien, clinicien et infirmière praticienne compétant en cannabis
3- Qui va vous en prescrire
Heureusement la légalisation du récréatif élimine ces boulets et sans prescription$.
La « décriminalisation » peut d'abord être définie
comme le processus tendant à supprimer l'application de toute sanction pénale,
tandis que la « dépénalisation » est définie
comme le processus tendant à supprimer l'application de toute sanction quelconque.
Genre : contraventionnalisation !
Payer pour avoir le droit de consommer un produit illicite
le gouvernement légalisant d'office les organisations criminelles/terroristes comme vendeurs officiels
mettant les consommateurs en contact avec les médicaments dangereux, mortels et contrefaçons.
https://blocpot.qc.ca/fr/question-8-quelles-sont-les-differences-entre-p...
Question 8 - Quelles sont les différences entre prohibition, décriminalisation et légalisation?
La prohibition interdit la production et la possession d'une substance. Dans le cas des drogues, elle vise à diminuer l'usage en réduisant l'accessibilité (offre) de la substance. D'autres motifs peuvent entrer en ligne de compte. Par un curieux « hasard », les produits agricoles issus de pays en voie de développement sont plus susceptibles d'être prohibés, alors que ceux produits dans les pays développés (ou dont la commercialisation est contrôlée par les pays développés) demeurent largement accessibles.
La décriminalisation (en France on parle plutôt de dépénalisation) signifie le retrait de certains actes de la compétence du système de justice criminelle. Ce terme ne précise en rien ce qui arrivera aux actes en question, car il ne signifie rien en particulier! Par exemple, le projet de loi prôné par les libéraux fédéraux en 2003 prévoyait de décriminaliser l'acte de possession simple de cannabis, tout en continuant de le sanctionner par des amendes (il s'agissait en fait de déjudiciarisation). En Hollande, la marijuana est décriminalisée de facto, puisque sur papier (de jure) elle demeure illégale! La décriminalisation est donc un mot parfait pour tous les politiciens de ce monde qui souhaitent semer la confusion.
Par ailleurs, la déjudiciarisation n'est pas une autre forme de décriminalisation. Elle représente un changement au niveau des procédures et des punitions entourant la criminalisation d'un acte en particulier. On pourra retirer les accusations sous certaines conditions, ou accuser quand même une personne et lui imposer, au moment de la condamnation, une peine de travaux communautaires, l'assigner à résidence ou lui imposer un couvre-feu, etc. Bref, lui faire payer son « écart de comportement » de toute autre manière que l'emprisonnement!
La légalisation permet la production et la vente de la substance. Par exemple, alcool, tabac et caféine sont des drogues légales au Canada. Différents niveaux de contrôle subsistent tout de même, en ce qui a trait à la qualité du produit et son accessibilité. Ainsi, la vente d'alcool et de cigarettes aux mineurs est interdite. En général, ce terme a un ton plus paternaliste et peut signifier pour certains un contrôle accru de l'État sur le marché légalisé.
En somme, la légalisation est une réponse médiatisée aux peurs irrationnelles que la prohibition a inculqué a posteriori à coup d'études financées par l'État prohibitionniste et par la suite relayées par les médias afin de maintenir depuis 40 ans cette guerre sociale. Ainsi, comment peut-on croire aux contenus de ces médias qui ont imposé le régime prohibitionniste en créant de toute pièce une mentalité aussi nocive ? La légalisation n'est rien de moins qu'une nouvelle prohibition ou en d'autres mots, la légalisation fait partie du récit prohibitionniste.
Au Bloc Pot, nous tentons d'utiliser les termes les plus généraux et exprimant le plus largement possible le sens de notre projet politique. Voilà pourquoi nous employons fréquemment les termes antiprohibitionniste et mettre fin à la prohibition.
Zappiste :
La légalisation n'est rien de moins qu'une nouvelle prohibition ou en d'autres mots,
la légalisation fait partie du récit prohibitionniste.
La prohibition interdit la production (et de 4 plantes) comme au Québec caquiste ségrégationniste
qui interdit aussi l'achat, la possession, la consommation aux adultes légaux de 18-21 ans
moins intelligents et responsables que les 18-19 ans des 9 provinces et 3 territoires,
selon la caq et les associations de médecins/psychiatres cannaphobes achetables du Québec
qui ont participé à la recriminalisation et mise en contact, avec les organisations criminelles/terroristes,
beaucoup plus dangereuse que le cannabis non mortel aux multiples bienfaits et usages millénaires !
Les psychiatres désertent les hôpitaux et les cas lourds
https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2022-12-21/les-psychiatres-dese...
Les psychiatres désertent les hôpitaux et les cas lourds
Le nombre de psychiatres ayant déserté les hôpitaux pour pratiquer en cabinet a doublé en trois ans au Québec, dénonce la Dre Claire Gamache, présidente de leur association. Qui, dans la foulée, leur reproche de s’en tenir aux cas plus légers qui pourraient être vus simplement en CLSC ou par des travailleurs sociaux.
« Il y a trois ans, 130 psychiatres sur 1300 étaient en cabinet. On en est à 250 », se désole-t-elle.
Utiles quand même ? « Ça dépend de ce qu’ils font en cabinet », note la Dre Gamache.
Elle loue ceux qui abattent un travail substantiel, mais elle fait observer que beaucoup d’autres évitent les patients aux pathologies plus compliquées (des patients schizophrènes ou bipolaires en crise, par exemple) pour se limiter aux cas simples de dépression mineure ou de trouble d’anxiété.
Une pratique « pépère », autrement dit ? « C’est pas mal ça », répond-elle.
La différence entre un psychologue et un psychiatre se trouve donc dans la formation nécessaire pour exercer. Contrairement au psychologue, le psychiatre a suivi des études de médecine,
et il est apte à délivrer des médicaments ou un arrêt de travail, si nécessaire.
Est-ce que les psychiatres pour animaux sont apte à délivrer des médicaments ou un arrêt de travail, si nécessaire ?
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