Le droit de prendre des risques !

Depuis 7 ans, le 6 MARS 2015, le taux de THC n'a pas augmenté, dépassé le 30% !
Pas de façon exponentiel comme le prétendaient/prétendent les cannaphobes.
Même avec la légalisation et la culture dans des conditions idéales optimales !

Le droit de prendre des risques !

Que ce soit dans le sport, les compétitions, les loisirs, le sexe, les drogues licites mortelles !

Violation des droits - Toute atteinte aux droits et libertés de la personne

Le cannabis est un bel exemple d'atteinte aux droits et libertés de la personne par les CAQ.
Que la justice des CAQ Simon Jolin-Barrette n'est pas égale pour tous !
(A noter que la CAQ a son émoticone/émoji: le petit tas de CAQ ?)

Le droit de prendre des risques mortels et dangereux pour leur santé physique, mentale.
Choisir des produits mortels à addiction et dépendance très forte n'est pas un signe de maladie mentale.
Alcool protégé et incité légal aux 6-12 ans et moins:
82% des Québécois de 12 ans et plus en consomment et 4 000 par an en meurent, en sont malades.
Tabac protégé 18 ans: 13 000 morts annuelles acceptables.

Les adultes des 18-21 ans qui ont droit au tabac et l'alcool mortels, protégés et incités par la CAQ.
Avec plus de 51 000 morts évitables acceptables depuis 3 ans de pouvoir d'exclusion sociale.
Morts acceptables par manque de courage et surtout peur de perdre des élections !

Âgisme - Maltraitances selon l'âge

Exemples d’âgisme : Ce que la CAQ fait avec les adultes de 18-21 ans et les aînés.

imposer des restrictions ou des normes sociales en raison de l'âge (18-21 ans);
réduire l'accessibilité à certaines ressources; (SQDC, une aide immédiate et gratuite, un médecin de famille)
avoir des préjugés;
infantiliser;
mépriser;
montrer de l’indifférence à l'égard des pratiques ou des propos.

Exemples de violation des droits : Par la CAQ envers les adultes de 18-21 ans.
imposer ; refuser le droit de :
choisir,
prendre des risques. "PRENDRE DES RISQUES"

Le droit de prendre des risques !

https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2019-05-30/activites-sportives-...

Même si leurs taux d’incidence de blessure sont plus faibles, des activités comme la marche et le vélo sont si populaires qu’elles sont responsables de dizaines de milliers de blessés chaque année.

Nous payons pour ces choix de risques même pour les sports extrêmes et de personnes riches.
Des dizaines de milliers de blessés chaque année qui encombrent les urgences.

« les bienfaits de l’activité physique demeurent supérieurs aux risques de blessure ».
Est-ce que les couts économiques des blessures physiques et mentales
de l’activité physique dépassent les bienfaits ?
Jeunes et commotions cérébrales ?

Environ 15 % des Québécois actifs se blessent en pratiquant leurs activités sportives préférées, révèle un rapport publié aujourd’hui. Ces blessures, jugées « préoccupantes », amènent plus d’un million de Québécois à consulter un professionnel de la santé, dont 300 000 pour une blessure sévère, note l’un des auteurs de l’étude, Benoît Tremblay, qui rappelle tout de même que « les bienfaits de l’activité physique demeurent supérieurs aux risques de blessure ».

Jeunes et commotions cérébrales
Chez les jeunes de 12 à 17 ans, « six activités sont considérées à plus haut risque de blessure » avec en tête de liste le football (146 blessés par 1000 participants), la gymnastique (135 blessés par 1000 participants) et le hockey sur glace (116 blessés par 1000 participants). « Cependant, comme ces activités ne sont pratiquées que par un petit nombre d’adeptes », cela affecte, en nombre absolu, 7000 (football), 5000 (gymnastique) et 12 000 (hockey sur glace) jeunes, peut-on lire dans le rapport. En comparaison, même si le taux de blessures y est plus faible, 38 000 jeunes se blessent chaque année durant leur cours d’éducation physique. M. Tremblay rappelle que « les bienfaits de pratiquer ces sports surpassent toujours les méfaits ». Il estime toutefois que le rapport peut rappeler l’importance d’appliquer certaines mesures de prévention de même que certains protocoles comme celui qui entoure la prise en charge des commotions cérébrales.

Quels sports sont les plus risqués ?
Les activités qui obtiennent un risque supérieur de blessure (75 blessés ou plus par 1000 participants) sont les sports de combat, le football, le hockey sur glace et la gymnastique (dont le cheerleading). La course à pied, le conditionnement physique, la planche à neige, le ski alpin et le soccer suivent avec des taux de plus de 50 blessés par 1000 participants. Même si leurs taux d’incidence de blessure sont plus faibles, des activités comme la marche et le vélo sont si populaires qu’elles sont responsables de dizaines de milliers de blessés chaque année. Les activités ayant présenté les taux les plus élevés de blessures sévères sont la planche à neige, le football, le vélo, le ski alpin et le patinage sur glace. « On n’a pas voulu identifier une activité plus à risque, explique M. Tremblay. […] Mais il faut être conscient qu’il y a un risque accru de blessure dans différents sports pour porter le bon équipement et bien se préparer. »

Il y aura toujours des gens qui n'ont pas peur des risques.
Ceux qui vont porter le bon équipement et bien se préparer et les autres.

Si les gens qui n'ont pas peur des risques essaient une nouvelle substance,
cela n'a rien à voir avec ses propriétés pharmacologiques, mais plutôt avec leur personnalité.
C'est un phénomène que les lois ne peuvent pas contrôler.

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