$42 millions c’est 2 trimestre au marché illicite du Québec

$42 millions c’est 2 trimestre au marché illicite du Québec

$42 millions c’est 2 trimestre pour les organisations criminelles du Québec !
Fourni par les CAQ “Anti Justice Égale Pour Tous”
des violeurs de serment et de promesses (électoralistes) faites au peuple du Québec.

En plus de leur fournir le plus grand nombre de consommateurs les adultes légaux de 18-21 ans.
Consommateurs privés du droit de choisir, de prendre des risques*.
Qui avaient essayé la légalité, la SQDC malgré un départ plus qu'imparfait.
Longues lignes d'attente en hiver; peu de variétés; ruptures de stock; peu de points de vente, prix élevés,
impossibilité de voir et humer des échantillons, buds, de cannabis.

Inconvénients que le marché organisé avec de nombreux points de vente de proximité
n'a jamais eu et qui offrait la livraison la fidélisation, la dégustation, des nouveautés à haut taux, etc.

Les CAQ leur fournissent plus de $20 millions trimestre, $200,000 par jour, non taxés.
Depuis 4 ans de criminalisation caquiste de mise en contact, des adultes légaux de 18-21 ans
avec les organisations criminelles aux nombreux produits de pharmaceutiques des fléaux dangereux mortels addictifs.

Fait: Les surdoses mortelles de fentanyl n’ont pas cessé d’augmenter au Québec depuis 4 ans de mise en contact !

* Le droit de choisir de prendre des risques

Selon des experts en santé:
- Aucune quantité d’alcool n’est bonne pour la santé !?

- Ce seraient les parents qui, en faisant gouter de l’alcool à leur enfant, en banaliseraient la consommation,
ce que le chercheur qualifie avec regret d’ “attitudes de laisser-faire”.

- Plus on consomme de l'alcool jeune, plus grands sont les risques ultérieurs de dépendance.

Même un parent peu risquer la vie, la santé physique et mentale,
de son enfant de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans
en lui faisant boire de l'alcool un dépresseur psychoactif mortel cancérigène à dépendance très forte comme l'héroïne.

Que ce soit pour 2-3 consommations par jour ou 2-3 consommations semaine !
Et surtout : sans risque de visite ni de poursuite ni d'enlèvement d'enfant par la DPJ.
Ni de risque de jusqu'à 14 ans d'emprisonnement.
Ce que risque un parent responsable du Québec qui consomme du cannabis légal avec son adulte légal de 18 ans
qui refuse de le sacrifier aux organisations criminelles parce que la CAQ a refusé d'Harmoniser
comme la majorité des Provinces et Territoires qui ont choisi d'appliquer la légalisation canadienne.

Parent qui refuse que son adulte de 18 ans n'ait le choix qu'entre 2 produits légaux mortels cancérigènes addictifs !

Produits légaux qui rendent malade et tuent plus de 17,000 Québécois par année par acceptabilité culturelle sociale.
Qui coutent beaucoup plus cher en méfaits sur la santé économique, publique, mentale/physique que leurs revenus.
Avec la bénédiction et la protection de votre gouvernement.
Parce qu'ils créent des emplois. (À $100,000 et plus ?)

La consommation d’alcool serait particulièrement dévastatrice : parmi les
dix décès par jour, 7,5 sont liés à cette substance.
En général, l’alcool est responsable de la moitié des séjours à l’hôpital.

INSPQ: La consommation d’alcool est associée à plus de 200 problèmes de santé
et plus de 77 000 hospitalisations par année, 210 par jour lui sont attribuables.

Alcool et Troubles de santé mentale
L’ICIS note par ailleurs que plusieurs de ces Canadiens hospitalisés
présentent des problèmes de santé mentale — quatre patients sur dix étaient
atteints de troubles comme l’anxiété, la dépression et la schizophrénie.

Le droit de choisir de prendre des risques

https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/2525_blessures_...

INSPQ
Étude des blessures subies au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives au Québec en 2015-2016

5.2 Des blessures préoccupantes
En plus de savoir qu’environ le quart des blessures associées à la pratique d’activités récréatives et
sportives sont de nature sévère, elles peuvent occasionner bien d’autres désagréments à ceux qui
les subissent. En effet, les personnes blessées peuvent consulter plusieurs types de professionnels
de la santé autres que leur médecin de famille, et ce, en plusieurs occasions. Ce type de traumatisme
semble donc peser lourd sur le système de soins de santé. De plus, en sachant que la limitation
d’activité se traduit par une période moyenne de 30 jours, dont au moins 15 jours en moyenne pour
le travail ou les études, cette période pèse aussi lourd en matière de coûts socioéconomiques
indirects (perte de productivité et de jouissance de la vie).

Nous payons pour ces blessures et bien d'autres désagréments
associées à la pratique d’activités récréatives et sportives !

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