Cependant, « des études supplémentaires sont nécessaires » pour comprendre pleinement la toxicité potentielle de cette plante, en particulier pour des applications thérapeutiques », ont-ils conclu !;O)))
Des études sur des humains et principalement, avec/sur les millions d'humains
qui consomment légalement du médical depuis 21 ans des enfants épileptiques jusqu'aux aînés.
Exclus des recherches !?
On ne fait pas d'études sur les humains parce qu'elles ne produiraient pas
les résultats dont les gouvernements, les policiers et pharmaceutiques
ont besoin pour maintenir l'interdiction.
« Comment mieux comprendre les études scientifiques »
2. La recherche a-t-elle été menée sur des êtres humains?
S’il est question des effets positifs ou négatifs d’un aliment ou d’un médicament sur la santé humaine,
il devrait être spécifié que la recherche a été menée sur des humains.
En effet, les résultats de tests faits sur des animaux ne peuvent pas systématiquement s’appliquer à l’humain
en raison des différences physiologiques (réactions aux produits chimiques, susceptibilité aux virus, etc.).
De plus, les doses administrées aux animaux peuvent être différentes de celles que l’on donnerait à des humains.
Et les méthodes d'administration, utilisation, peuvent être différentes de celles des humains.
Ex : Aucun humain ni animal ne s'injecte du THC pur. Un beau défi pour les tictocqueux influençable !;O)
Autrement dit, les résultats de recherche obtenus pour une souris… valent pour une souris!
L’âge des participants aux études doit aussi être pris en compte, car les effets d’un médicament ou d’un aliment sur l’organisme peuvent différer selon qu’on est jeune ou plus âgé, souligne Dany Plouffe.
Quant aux études faites sur des cellules, elles constituent le point de départ du processus de recherche
et les résultats obtenus pourraient ne jamais s’appliquer à l’humain.
3. De quel type d’étude est-il question?
L’étude contrôlée randomisée en double aveugle est considérée comme le standard méthodologique en recherche parce qu’elle fournit des résultats fiables, sans biais introduit par les chercheurs ou les participants.
Cependant, « des études supplémentaires sont nécessaires » pour comprendre pleinement la toxicité potentielle de cette plante, en particulier pour des applications thérapeutiques », ont-ils conclu !;O)))
Des études sur des humains et principalement, avec/sur les millions d'humains
qui consomment légalement du médical depuis 21 ans des enfants épileptiques jusqu'aux aînés.
Exclus des recherches !?
On ne fait pas d'études sur les humains parce qu'elles ne produiraient pas
les résultats dont les gouvernements, les policiers et pharmaceutiques
ont besoin pour maintenir l'interdiction.
« Comment mieux comprendre les études scientifiques »
2. La recherche a-t-elle été menée sur des êtres humains?
S’il est question des effets positifs ou négatifs d’un aliment ou d’un médicament sur la santé humaine,
il devrait être spécifié que la recherche a été menée sur des humains.
En effet, les résultats de tests faits sur des animaux ne peuvent pas systématiquement s’appliquer à l’humain
en raison des différences physiologiques (réactions aux produits chimiques, susceptibilité aux virus, etc.).
De plus, les doses administrées aux animaux peuvent être différentes de celles que l’on donnerait à des humains.
Et les méthodes d'administration, utilisation, peuvent être différentes de celles des humains.
Ex : Aucun humain ni animal ne s'injecte du THC pur. Un beau défi pour les tictocqueux influençable !;O)
Autrement dit, les résultats de recherche obtenus pour une souris… valent pour une souris!
L’âge des participants aux études doit aussi être pris en compte, car les effets d’un médicament ou d’un aliment sur l’organisme peuvent différer selon qu’on est jeune ou plus âgé, souligne Dany Plouffe.
Quant aux études faites sur des cellules, elles constituent le point de départ du processus de recherche
et les résultats obtenus pourraient ne jamais s’appliquer à l’humain.
3. De quel type d’étude est-il question?
L’étude contrôlée randomisée en double aveugle est considérée comme le standard méthodologique en recherche parce qu’elle fournit des résultats fiables, sans biais introduit par les chercheurs ou les participants.