Le cannabis médical est légalement disponible en Pologne depuis 2017, mais son intégration dans la pratique clinique courante reste limitée.
Le questionnaire, sondage, évaluait les opinions sur la légalisation du cannabis médical
La confiance dans les connaissances des médecins (29,9 %) et des patients (16,1 %) sur le cannabis médical était faible.
Le cannabis médical est légalement disponible en Pologne depuis 2017,
mais son intégration dans la pratique clinique courante reste limitée. Après 7 ans !?
Après 7 ans de médical ils causent toujours des problèmes aux personnes de tous âges
qui souffrent et meurent aujourd'hui !
Article de recherche original
Front. Santé publique
Sec. Éducation et promotion de la santé publique
Volume 13 - 2025 |doi: 10.3389/fpubh.2025.1686709
Connaissance du cannabis médical par le public en Pologne sept ans après sa légalisation : résultats d'une étude transversale
Provisoirement accepté
Andrzej SilczukAndrzej Silczuk1 Mateusz JankowskiMateusz Jankowski2 Paulina Mularczyk-TomczewskaPaulina Mularczyk-Tomczewska1
*Agata OlearczykAgata Olearczyk3*Tomasz BaranTomasz Baran4 Iwona Wrześniewska-WalIwona Wrześniewska-Wal5 Alexandra LewandowskaAleksandra Lewandowska6 Magdalena BogdanMagdalena Bogdan1
1 Medical University of Warsaw, Warsaw, Poland
2 Department of Population Health, School of Public Health, Centre of Postgraduate Medical Education, Warsaw, Poland
3 Health Innovation Unit, SGH Warsaw School of Economics, Warsaw, Poland
4 University of Warsaw, University of Warsaw, Department of Business Psychology and Social Innovation, Poland,, Warsaw, Poland
5 School of Public Health, Centre of Postgraduate Medical Education, Warsaw,, Warsaw, Poland
6 J. Babinski Specialist Psychiatric Health Care Team, Psychiatric Ward of Children, Lodz,, Łódź, Poland
La version finale et formatée de l’article sera publiée prochainement.
Contexte : Le cannabis médical est légalement disponible en Pologne depuis 2017, mais son intégration dans la pratique clinique courante reste limitée. Cette étude examine les attitudes du public à l'égard du cannabis médical, la sensibilisation thérapeutique et la préparation perçue du système de santé sept ans après la légalisation.
Méthodes : Une enquête transversale a été menée en juillet 2025 à l'aide de la méthode d'entretien Web assisté par ordinateur (CAWI) sur un échantillon national représentatif de 1113 adultes (âgés de 18 à 84 ans).
Le questionnaire évaluait les opinions sur la légalisation du cannabis médical, la volonté de suivre une thérapie à base de cannabinoïdes, les perceptions des connaissances des médecins et des patients et le soutien à la culture à domicile sous supervision médicale. Une régression logistique multivariée a été utilisée pour identifier les prédicteurs sociodémographiques des attitudes clés.
Résultats : Une majorité substantielle de répondants soutenaient la légalisation du cannabis médical (81,1 %) et se sont déclarés prêts à suivre un traitement si cela était médicalement indiqué (84,3 %).
Cependant, seulement 4,2 % ont déclaré avoir reçu une recommandation de cannabis médical de la part d'un médecin. La confiance dans les connaissances des médecins (29,9 %) et des patients (16,1 %) sur le cannabis médical était faible. Les affections oncologiques (57,4 %) et la douleur chronique (49,8 %) étaient les indications thérapeutiques les plus fréquemment reconnues.
Le soutien à la culture à domicile était associé à une consommation antérieure de cannabis médical, au sexe masculin, à un âge plus jeune et à la résidence urbaine. Les personnes âgées (≥ 50 ans) étaient plus susceptibles de soutenir la légalisation, tandis que les personnes âgées de 30 à 39 ans et les personnes ayant un revenu familial modéré étaient moins favorables.
Conclusions : Bien que le soutien public au cannabis médical en Pologne soit élevé, sa mise en œuvre clinique reste limitée.
Combler cet écart nécessitera des initiatives éducatives complètes et des lignes directrices fondées sur des données probantes pour soutenir les professionnels de la santé et informer les patients.
Mots-clés : cannabis médical ; légalisation ; sensibilisation thérapeutique ; thérapie aux cannabinoïdes ; facteurs sociodémographiques ; éducation des patients
Reçu : 26 août 2025 ; Accepté : 10 septembre 2025.
Classification :
Le cannabis a été classé comme stupéfiant en Pologne en 1951.
Usage médical
Légal: La Pologne a légalisé l’usage du cannabis médical pour les patients qui reçoivent une ordonnance.
Réglementation stricte : La vente et l’utilisation du cannabis médical
sont soumises à des contrôles juridiques et réglementaires stricts pour garantir son utilisation appropriée.
Ordonnances : Les patients peuvent obtenir du cannabis médical sur ordonnance pour certaines conditions.
Autres considérations
Dépénalisation : Bien que la possession soit illégale, la Pologne a débattu ou envisagé
la dépénalisation de certaines infractions liées à la drogue, mais le statut du cannabis reste inchangé.
Rappelons que : La seule raison pour laquelle les drogues financent
le crime organisé et les grands mouvements terroristes du monde, c'est la prohibition.
(La dépénalisation)
« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir »
Une personne qui refuse de savoir est en mesure de causer du tort sans intention,
en s'appuyant sur son ignorance.
Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance...
« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir* »
La dépénalisation est le processus consistant à supprimer ou alléger les sanctions pénales
(comme l'emprisonnement ou les amendes pénales) associées à certains actes,
sans pour autant rendre ces actes légaux.
Par exemple, l'usage de drogues peut être dépénalisé, ce qui signifie que l'acte de consommer ne sera plus puni par la justice pénale, mais l'acte reste illégal et des sanctions administratives (comme une amende) peuvent être appliquées. La dépénalisation se distingue de la légalisation, qui, elle, rend un acte légal.
La possession et la consommation de cannabis sont illégales en Pologne.
Selon la loi sur la lutte contre la toxicomanie , la possession est passible d'une peine d'emprisonnement
pouvant aller jusqu'à trois ans. Le cannabis n'est pas différencié des autres drogues.
En guise d'alternative à une peine de prison, le délinquant peut se voir infliger une amende
ou « se voir retirer certains droits pendant une période pouvant aller jusqu'à un an ».
Le tribunal a également le droit d'exiger que la personne suive un programme de traitement,
dans le cadre de la politique nationale « traiter plutôt que punir ».
Exiger un programme de traitement ne fonctionne pas !
"Exiger un traitement" ne fonctionne pas parce que, en principe, un patient adulte et apte à consentir a le droit de refuser un traitement, même s'il est vital. Un médecin ne peut forcer un traitement sans le consentement libre et éclairé du patient, à moins que des exceptions légales ne s'appliquent, comme une urgence, un risque pour autrui, une ordonnance judiciaire ou l'incapacité du patient à comprendre.
drogriporter.hu rapporte que le nombre d' affaires abandonnées en 2012 ne représentait que 11,3 pour cent du total des 18 441 arrestations pour possession cette année-là, et que 79 pour cent des affaires de possession de cannabis portées devant les tribunaux impliquaient des quantités de trois grammes ou moins.
Dépénaliser sans fournir les cannabis et concentrés aux consommateurs
c'est légaliser d'office le marché illicite avec ses médicaments et produits
contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance
en leur fournissant des clients et des MILLION$ utilisés pour la fabrication et vente
d'armes, de drogues, la corruption, la prostitution, le pouvoir !
Rappelons que : La seule raison pour laquelle les drogues financent
le crime organisé et les grands mouvements terroristes du monde, c'est la prohibition.
(Et la dépénalisation !)
Soumis par Zappiste le 7 janvier 2023 - 10:25.
Forums: Politique canadienne
https://www.blocpot.qc.ca/fr/forum/7032
Il y a 22 ans !
M. Eugene Oscapella (directeur, Fondation canadienne pour une politique sur les drogues)
Témoignage: Comité spécial du Sénat sur les drogues illicites (Canada, 2002)
La seule raison de l'intérêt du crime organisé pour le cannabis,
c'est l'interdiction des drogues par nos lois pénales qui crée un marché noir extrêmement lucratif.
Je me pose encore une fois la question, monsieur le président.
Qu'est-ce que le gouvernement ne comprend pas au sujet de cette vérité économique toute simple?
L'un des mes collègues a laissé entendre qu'un projet de loi comme celui-ci devrait plutôt porter le titre de
« loi visant les subventions au crime organisé et au terrorisme », puisque c'est l'effet qu'il aura.
En maintenant la prohibition, on subventionne le crime organisé et les groupes terroristes du monde entier.
* La citation « Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir »
est attribuée à la philosophe et écrivaine française Simone de Beauvoir (1908-1986).
Elle souligne que c'est la volonté active de ne pas apprendre et de rester dans le déni
qui est plus problématique que le simple manque de connaissance, qui peut être corrigé.
Analyse de la citation
L'ignorance
est un état de fait, un manque de connaissance ou de compréhension.
Le refus de savoir
est une attitude, un choix délibéré de ne pas chercher à s'informer, à comprendre ou à se remettre en question, même quand l'information est disponible.
Legault le conservateur qui utilise le Gros Bon Sens comme Pi Po
a choisi de causer du tort avec intention, aux adultes légaux à 18 ans du peuple du Québec
en s'appuyant sur son orgueil, son ignorance et celles des Québécoises et Québécois.
François Legault : « C’est clair, je ne me conte pas d’histoires.
Des jeunes de 18 à 21 ans vont aller sur le marché noir acheter du cannabis ».
Avec sa mise en contact dangereuse et mortelle des moins de 21 ans avec les organisations criminelles/terroristes.
Aux médicaments dangereux, addictifs et mortels comme les opiacés, la tabac et l'alcool toujours disponibles.
Selon Beauvoir, c'est ce refus actif qui empêche le progrès et la résolution des problèmes de l'humanité,
plutôt que l'absence de connaissances elle-même.
Une personne qui refuse de savoir est en mesure de causer du tort sans intention,
en s'appuyant sur son ignorance, tandis qu'une personne qui ne sait pas,
mais est ouverte à apprendre, peut évoluer et corriger ses erreurs.
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