Faire comme avec le tabac et l’alcool des fléaux mondiaux

https://www.inspq.qc.ca/substances-psychoactives/opioides/surdose/deces-...
INSPQ - Décès attribuables à une intoxication aux opioïdes
et décès reliés à une intoxication "suspectée" aux opioïdes ou autres drogues.

Ne faire que se pencher caqueter sur le fléau des opioïdes comme le font les experts
genre les associations de médecins/psychiatres et les associations de chefs de police, le statuquo
qui ne change en rien, ne réduisent pas aujourd'hui les méfaits des opioïdes.

Réduire les peines pour la possession de certaines drogues.
Les caqueteurs à compassion variable ne sont pas rendu là d'affirmer Carmant !
Ils préfèrent que les policiers arrêtent les personnes dépendantes
près des sites d'injections supervisés.

« Faire comme avec le tabac et l’alcool des fléaux mondiaux »

La douce coercition, leur fourni des millions de points de vente
des endroits de consommation intérieurs, extérieurs, etc.

Des fléaux mondiaux cancérigènes à dépendance physique, psychique
Forte et Très Forte comme l’héroïne (opiacé) et à morts journalières acceptables et évitables.

Tabac - Une cause majeure de décès, de maladie et d'appauvrissement
Elle fait plus de 8 millions de morts chaque année dans le monde.
Sur ces 8 millions, 7 millions sont dus à la consommation directe de tabac, et quelque 1,3 million
sont des non-fumeurs qui sont involontairement exposés à la fumée du tabac (4).31 juill. 2023

Rappelons que le cannabis seul sans mélange la substance illégale la plus consommée au monde
a toujours zéro mort en 8 000 ans d'usages pour la consommation directe
ainsi que zéro mort pour les non-fumeurs qui sont involontairement exposés à la fumée !
Toujours aucune recherche sur des humains double aveugle prouvant qu'il peut causer des cancers en 2024.

Alcool avec le plus grand nombre de drogués de 12 ans et plus - 9 mai 2022

Principaux faits

Usage nocif ?
Plus de 2-3 consommations semaines ou plus de 2-3 par jour selon le sexe ?
Pas tous les jours "mais plus" selon l'occasion qui fait le saoulons.
Rappelons que le danger c'est le nombre de consommation et non le taux.

Avertissement à ceux qui ont des problèmes de dépendance à l'alcool
et qui consomment compensent avec plus de bière dite sans alcool.
La bière sans alcool, danger, ça n'existe pas !

L’usage nocif de l’alcool est un facteur étiologique dans plus de 200 maladies et traumatismes.

L’usage nocif de l’alcool entraîne 3 millions de décès chaque année dans le monde, ce qui représente 5,3 % de l’ensemble des décès.

Dans l’ensemble, 5,1 % de la charge mondiale des maladies et traumatismes mesurée en années de vie ajustées sur l’incapacité (DALY) est attribuable à l’alcool.

Outre ses conséquences sur la santé, l’usage nocif de l’alcool entraîne des pertes économiques et sociales importantes pour les individus comme pour la société dans son ensemble.

Pertes économiques : Au Québec l'alcool protégé incité rapporte 1,5 MILLIARD$ en revenus
mais nous coute 3 MILLIARD$ en méfaits évitables acceptables socialement, culturellement.

La "consommation" d’alcool entraîne des décès et des incapacités relativement tôt dans la vie. Chez les personnes âgées de 20 à 39 ans, environ 13,5 % du nombre total de décès sont attribuables à l’alcool.

La "consommation" et non l'usage nocif d’alcool entraîne des décès et des incapacités relativement tôt dans la vie.
Tôt dans la vie : Au Québec l'alcool est légal aux 6-12 ans en moins.

Il existe une relation de causalité entre l’usage nocif de l’alcool et toute une série de troubles mentaux et comportementaux, d’autres maladies non transmissibles ainsi que les traumatismes.

Et toute une série de troubles mentaux ?
Avec le plus grand nombre de drogués mondiaux qui consomment et abusent de l'alcool
les probabilités qu'il soit responsable des troubles mentaux sont beaucoup plus grande
que celle pour le cannabis thérapeutique légal depuis 23 ans et le récréatif depuis 5 ans au Canada !

L'alcool est un facteur causal majeur des violences envers les femmes, les enfants, soi même et les autres.

Les experts achetables ne voient aucun lien de causalité entre la consommation d'alcool
un "dépresseur" psychoactif et l'usage, l'abus, la $urprescription responsable du fléau des antidépresseur$.

Les effets secondaires des antidépresseurs peuvent être psychiques :
anxiété, troubles du sommeil, levée de l'inhibition et "activation de tendances suicidaires",
virage maniaque, confusion mentale et délire.

Ils peuvent être neurologiques : tremblements, épilepsie, dyskinésies et troubles cognitifs.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2045812/decriminalisation-drogue-du...
Un an après, la décriminalisation des drogues dures donne des résultats en demi-teinte

À l'heure actuelle, les adultes en possession de moins de 2,5 g de drogues dures ne sont ni arrêtés ni accusés. Leurs drogues ne sont pas saisies.

Quatre types de drogues qui font l’objet d’une exemption fédérale :
les opioïdes (tels que l'héroïne, la morphine et le fentanyl);
le crack et la cocaïne en poudre;
la méthamphétamine (méthamphétamine en cristaux)
la MDMA (ecstasy).

Perso
moins de 2,5 g de drogues dures je trouve ça un peu élevé
pour les opioïdes (tels que l'héroïne, la morphine et le fentanyl).

2,5 g = 2 500 mg.

Sachant que la dose létale de fentanyl chez l'humain est estimée à 2-3 mg (overdose).

Qu'une dose mortelle d'héroïne, est d'environ 30 milligrammes.
Mais les personnes dépendantes peuvent tolérer jusqu'à dix fois cette dose.

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